L'actualité de la crise: de Charybde en Scylla, par François Leclerc

Billet invité.

DE CHARYBDE EN SCYLLA

Avec obstination, la machine économique continue à ne pas vouloir bien fonctionner. Afin de ne pas caler après avoir bien failli sombrer corps et âme, deux soutiens permanents lui sont nécessaires : celui des banques centrales (ces mystérieuses entités détentrices du pouvoir régalien de la création de la monnaie), ainsi que celui des pouvoirs publics (ces entités qui nous représentent et nous endettent pour sauver le système financier). Ces deux pompes à phynance doivent tourner afin que la machine ne grippe pas, que les apparences soient sauves, que la fiction d’un capitalisme capable de se réformer conserve sa crédibilité (bien que ses hérauts fassent tout pour démontrer le contraire), sans autre perspective que de continuer à pomper. Comme de vrais Shadoks. Sans non plus sembler mesurer le risque grandissant de préparer une nouvelle crise.

De plus en plus nombreuses, des voix s’inquiètent en effet de la formation d’une nouvelle bulle financière résultant de l’envol actuel du marché des actions grâce à la quasi gratuité de l’argent dispensé par les banques centrales. Craignant, pour les mêmes raisons, les effets de l’exercice à grande échelle du carry trade, avec comme leviers le taux zéro de la Fed et le dollar. Remarquant qu’au grand bal privé du marché des produits dérivés, un nombre restreint de danseurs accapare tous les prix. Constatant que les bilans des banques centrales enflent au fur et à mesure qu’elles accumulent les actifs toxiques en contrepartie de leurs prêts, jouant par défaut le rôle des « bad banks » qui n’ont pas été crées. Et l’on n’en finirait pas d’énumérer ces menaces, tandis que le système financier continue à se remettre très lentement de ses aventures en s’appuyant sur nos épaules tout en s’accrochant à notre cou à nous en faire couler. Le deleveraging (le désendettement) se révèle hors de prix et pas dans nos moyens.

De manière parfaitement empirique, plus guidés par ce à quoi ils ne voulaient pas se résoudre que par ce qu’ils devaient accomplir, les pouvoirs publics occidentaux ont tous emprunté une voie similaire, aux variantes finalement secondaires. Ils ont décidé de soutenir prioritairement les institutions financières à coup d’aides financières diverses, faisant le calcul qu’elles finiraient par progressivement retrouver leur santé. Ainsi que de combattre les effets de la crise financière sur l’économie par des mesures de relance destinées à être provisoires. Aboutissant, dans un premier temps, à des résultats mitigés dans ces deux domaines, puis aux impasses dans lesquelles nous sommes entrés. Exprimant les deux contradictions majeures suivantes.

Il faudrait ainsi tout à la fois arrêter les injections monétaires cadeaux que les banques centrales continuent de prodiguer, alors même que le marché en est plus que saturé et qu’elles contribuent à la formation d’une nouvelle bulle financière, et les poursuivre. Car c’est grâce à elles que les banques peuvent faire leurs affaires et reconstituer leurs forces. C’est le premier dilemme, celui devant lesquelles se trouvent les banques centrales, qui ne cessent d’annoncer qu’elles vont un jour finir par refermer leur porte-monnaie, tout en le gardant toujours grand ouvert pour y puiser. Commençant même à s’inquiéter, sans pouvoir rien trop y faire, du fait que les banques prennent goût à ces distributions régulières, risquant d’en faire demain un avantage acquis ! Car on est génie de la finance à peu de frais, dans ces conditions  !

Le second dilemme concerne non plus la finance mais l’économie. Le provisoire des plans de relance risque là aussi de s’installer, alors qu’il faudrait l’interrompre, ou au moins ne pas le poursuivre. La croissance retrouvée est en effet à ce prix, car l’initiative privée ne prend pas le relais, mais la dette publique augmente, constituant une seconde bulle tout aussi menaçante que la première. Que faire, poursuivre les relances et accroître encore la dette, ou ne pas les renouveler et abandonner la maigre croissance retrouvée, risquant par la même d’aggraver encore la situation des établissements financiers ?

Les décideurs professionnels sont enferrés. Ils ne peuvent plus que tergiverser et attendre qu’un Deus ex machina intervienne, comme du temps du théâtre grec. Faire le pari d’une croissance qui ferait boule de neige, mais qui reste introuvable chez eux et marginale chez leurs partenaires des pays émergents, sans l’effet d’entraînement qu’ils espéraient.

Il ne s’agit là que du présent. Si l’on considère l’avenir, les choses ne se présentent pas sous de meilleures auspices. De nombreux économistes considèrent en effet qu’un grand déséquilibre macroéconomique mondial devrait être corrigé, impliquant que les pays émergents réorientent leur activité économique, prioritairement exportatrice, afin d’appuyer désormais leur croissance sur le développement de leur marché intérieur. Et que les pays développés accroissent de leur côté leur épargne, dans un mouvement inverse (l’augmentation de l’épargne est une manière pudique et convenue d’évoquer la diminution de la consommation). Mais cette vision se heurte à des obstacles que ces mêmes analystes négligent ou ne savent pas évaluer, déplorant dans le meilleur des cas (celui de Nouriel Roubini par exemple), que cela n’en prenne pas actuellement le chemin, sans en étudier les raisons, enfermés dans leurs raisonnements économiques.

Si ce grand rééquilibrage tarde à s’opérer, comme il est très prévisible, les mêmes causes vont continuer, des deux côtés, de produire les mêmes effets. Les facteurs d’inertie en cause sont en effet puissants. Comment transformer des sociétés profondément marquées par un développement économique et social inégal, dans lesquelles seule une minorité bénéficie réellement d’une croissance et d’une modernité résultant de l’activité exportatrice ? Comment parvenir, de l’autre côté, à ce que les classes moyennes occidentales acceptent sans réaction de voir leur statut et leur niveau de vie atteints durablement ? Comment gérer nos sociétés démocratiques si les inégalités sociales s’y accroissent et se cristallisent ? Ces questions, de toute évidence, ne sont pas de l’ordre de l’économique. Ce qui ne les empêche pas d’être très d’actualité, mais de rester sans réponses.

Dans un second domaine, qui concerne l’avenir, on atteint actuellement des sommets. Il était déjà acquis que la régulation financière, dont les modalités tardent toujours a être définies, pour ne pas dire à être mise en place, a par avance toutes les chances de se révéler à l’arrivée sous la forme d’un sarcophage plein de trous. Laissant le monde financier tout à ses aises, dans l’attente de la prochaine crise qu’il suscitera immanquablement. Mais un débat montait, venant de l’intérieur du sérail, à l’initiative de financiers avertis, auquel il a fallu répondre dans l’urgence pour couper court à toute mise en cause plus vaste. Il s’agissait du danger représenté par les institutions TBTF (too big to fail) bénéficiant d’un aléa moral étendu, d’une totale impunité pour leurs méfaits, pour parler clair. A ceux qui préconisaient, qui une taxe sur les transactions financières, qui le retour à une séparation entre banques de dépôt et d’investissement, l’administration Obama a répliqué avec beaucoup de célérité, montrant qu’elle avait conscience du danger que représentait cette contestation. Un projet de loi en est issu comme un lapin sort de son chapeau, dont le mécanisme, rappelant par la complexité de son échaffaudage celui du PPIP destiné à purger les banques de leurs actifs toxiques, pour l’essentiel abandonné, paraît tout désigné pour l’être lui aussi en chemin.

L’idée est de définir une liste d’entreprises TBTF, tenue secrète, qui feraient l’objet d’une surveillance particulière et qui, en cas de pépin et de démantèlement, devraient assumer au final les coûts de ce dernier. A défaut, les entreprises dépassant le montant de 10 milliards d’actifs pourraient être mises à contribution pour rembourser l’Etat des fonds qu’il aurait engagé, par le biais d’une sorte de mutualisation des risques. L’accent étant mis sur le fait que les coûts du sauvetage ne seraient plus à la charge des contribuables. Cette construction, qui suscite de vigoureux débats aux Etats-Unis, appelle trois remarques. La première est qu’elle vaut reconnaissance du fait que toute les mesures de régulation financière antisystémiques en cours de discussion au Congrès n’empêcheront pas d’importantes institutions financières de sombrer, et qu’il vaut donc mieux déjà s’y préparer. La seconde que la fiction d’une liste d’entreprises TBTF confidentielle (avant d’éviter qu’elles bénéficient d’un aléa moral en connaissance de cause, pouvant toujours organiser leur insolvabilité en cas de problème) est proprement risible. La dernière qu’il est bien peu crédible de penser que la loi, si elle était adoptée, puisse être appliquée si nécessaire sans être contournée. Il faudrait pour mieux en juger connaître ses décrets d’application !

LES SHADOKS

111 réponses sur “L'actualité de la crise: de Charybde en Scylla, par François Leclerc”

  1. Le deleveraging (le désendettement) se révèle hors de prix et pas dans nos moyens.
    Dans Blommberg ce soir on peut lire la confirmation très nette d’un professionnel apparemment à l’aise avec la nécessité dune nouvelle bulle .
    “Even if things are getting better, we might need another bubble to digest the debt,” said Antoine Drean, chief executive officer of Triago, a Paris-based firm that raises money for private-equity funds and sells existing interests in buyout pools. “The debt will still be a big issue and it’s difficult to take care of today.”

  2. Merveilleux shadocks.
    Pour faire des bulles la recette est simple: de l’eau, du savon et une flute pour insuffler de l’air.
    L’Etat fournit l’eau, la banque centrale le savon et les banques peuvent s’époumoner à faire des bulles.
    Le Deus ex machina je vois pas. C’est là le problème.
    Merci encore François Leclerc pour la justesse ses éclairages.

  3. Une âme charitable voudrait bien m’expliquer en termes simples pourquoi quand on a le pouvoir de créer de la monnaie ex-nihilo, et via le taux d’intéret de la détruire (j’ai bon ?) on ne peut pas faire disparaitre de la dette ? Toutes ces projection apocalyptiques de ce blog se basent sur le principe que la dette devra être remboursée, la question est quand on peut créer et détruire la monnaie que veut dire la dette ?

    1. Nous sommes deux (au moins) , M. Leclerc, je me faisais le même genre de réflexion en lisant votre édito de ce jour…

    2. L’apocalypse n’est pas mon horizon, je décris ce que je constate. Quant à l’effacement de la dette par l’inflation, le phénomène est simple malgré que l’expression soit trompeuse. C’est souvent le cas dans le domaine de la finance. C’est l’augmentation de la masse monétaire qui en est l’expression qui facilite le remboursement de la dette. Elle n’est donc pas détruite, mais remboursé à moindre frais.

    3. La dette existe de façon intangible, tant qu’elle n’est pas répudiée.
      Je serais alors tenté d’interpréter cette création profuse de monnaie utilisée au temps t par les institutions financières pour procéder alors à bon compte à des acquisitions, à des concentrations, au renforcement des monopoles … comme un moyen permettant ensuite au temps t+x, le jour où les comptes devront être apurés, de faire porter la dette accumulée par le contribuable.
      La monnaie comme vecteur permettant le transfert de la dette des plus riches au plus pauvres en quelque sorte.

  4. Aux Etats-Unis, les consommateurs sont fauchés et surendettés. Donc l’Etat soutient les consommateurs en leur distribuant des primes. Le programme surnommé « Cash for houses » est le suivant : un primo-accédant qui achète un logement a droit à un crédit d’impôt de 8000 dollars ! En clair : l’Etat subventionne les consommateurs pour qu’ils achètent des logements !

    Lisez cet article :

    « L’indice des promesses de ventes des logements s’est inscrit en hausse de 6,1 % en rythme séquentiel à 110,1 sur le mois de septembre. Par rapport à septembre 2008, les promesses de vente affichent une augmentation de 21,2 %, soit un record de hausse annuelle. L’indice atteint ainsi le plus haut depuis décembre 2006.

    ‘Nous observons un ‘rush’ de primo-accédants avant la date d’expiration du crédit d’impôt, à la fin du mois prochain’ note Lawrence Yun, économiste en chef de la NAR, ajoutant que ‘la valeur des maisons se stabilisera bientôt, plutôt que connaîtra une nouvelle correction’. »

    http://www.boursorama.com/international/detail_actu_intern.phtml?num=c0e0be5976d4d86d9099ccbfc1d5b869

    Fin novembre 2009, l’Etat ne donnera plus le crédit d’impôt de 8000 dollars aux primo-accédants. Le secteur du logement connaîtra donc un effondrement.

    C’est exactement ce qui s’est passé pour le secteur automobile. En juillet et août 2009, l’Etat a distribué une prime énorme aux consommateurs américains pour qu’ils achètent des voitures. Ce programme était surnommé « Cash for clunkers ». Ce programme a coûté aux contribuables américains 24 000 dollars par voiture achetée !

    http://money.cnn.com/2009/10/28/autos/clunkers_analysis/index.htm?postversion=2009102910

    Mais ensuite, que s’est-il passé ?

    Réponse : quand l’Etat a arrêté de donner la prime, le secteur automobile s’est effondré. Voici le graphique :

    http://research.stlouisfed.org/fred2/series/ALTSALES?cid=98

    Et en France ?

    En France, c’est pareil. Les consommateurs français sont fauchés et surendettés. Donc l’Etat soutient les consommateurs en leur distribuant des primes :
    – prime de rentrée scolaire (pour acheter des fournitures scolaires)
    – prime à la cuve (pour acheter du mazout)
    – bonus écologique et prime à la casse (pour acheter des voitures)
    – prime sous forme de crédit d’impôt pour les logements écolos (pour acheter des logements économes en énergie).

    Un exemple : l’automobile. Début 2010, quand l’Etat français baissera les bonus écologiques et les primes à la casse, le secteur automobile s’effondrera.

    Lisez cet article :

    Lundi 2 novembre 2009 : « Les ventes de voitures neuves ont bondi de 20,1 % en octobre par rapport au même mois de 2008, dans un marché toujours dopé par les aides gouvernementales, alors que les clients anticipent la réduction de la prime à la casse et le durcissement du bonus écologique au début de 2010. »

    http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=5c761a14b6b4102ea4545864383d3ded

    Conclusion : aux Etats-Unis, en France, et dans les autres pays occidentaux, les consommateurs sont fauchés et surendettés. Du coup, ce sont les Etats qui se surendettent pour soutenir la consommation. Si l’Etat arrêtait de distribuer des aides et des primes, la consommation s’effondrerait brutalement.

    Jusqu’à quand va durer cette fuite en avant ? Je ne sais pas.

  5. @ BA

    En clair l’état, le gouvernement, à défaut de pouvoir créer souverainement sa propre monnaie, subventionne non pas les consommateurs mais l’industrie et le commerce. Après plus de 6 milliards injectés dans l’industrie automobile sans contrepartie écologique, l’état en rajoute une couche en poursuivant son plan de primes à la casse qui, si elles n’existaient pas, auraient fait dégringoler les ventes de voitures.

    On paiera donc les futurs nouveaux modèles automobiles « propres » trois fois. Une fois par le coût de la recherche, une deuxième fois par l’endettement de l’état et donc par des réformes sociales et le démantèlement des conditions de travail et une troisième fois par le prix final de cette mutation technologique, que nous consommateurs, devrons payer.

    Bien joué !

  6. Josef Ackermann, le CEO de Deutsche Bank, s’exprimait hier à Londres à l’occasion d’une conférence organisée à popos de la régulation financière par le FSA, le contrôleur britannique.

    A cette occasion, Il a appelé à la création d’un fonds de renflouement des banques, co-financé par les gouvernements et le secteur bancaire, qui aurait pour objet de recapitaliser une banque en faillite.

  7. Merci pour ce billet et pour les shadoks associés.
    La lucidité porte au pessimisme aujourd’hui.Je crois que je vais me resservir une dose de Monty Python.
    Au plaisir de vous lire.

  8. Je trouve déplorable que les banques centrales ne monétisent pas plus la dette publique alors que les bulles d’actifs continuent de croître avec les dangers que cela représente pour l’économie réelle.

    Pour répondre à BA sur la question de savoir jusqu’où cela va durer, la question de la dette publique posera une question incontournable aux Etats : va-t-on vers plus d’austérité budgétaire pour la contenir ou innove-t-on ? Lorsque je parle d’innovation, je pense plutôt à laisser tomber les vieilles recettes monétaristes pour quelque chose de neuf. Une nouvelle politique économique et industrielle dont la ligne directrice serait la suivante : la division internationale du travail à l’échelle du monde ne marche pas. Les emplois qui sont détruits en Occident ne sont remplacés de manière suffisante ni en nombre ni en qualité. Quel que soit le modèle de protection social que l’on adopte, ce sera un panier percé que l’on financera par la dette. Pendant trente ans, on l’a maintenu en vie grâce à l’endettement en France. L’Allemagne, sous Schrôder, a fait le choix de le remettre en cause afin de conforter sa spécialisation industrielle. même chose pour l’Angleterre.
    Au final, soit on épuise cette logique, i.e, on la mène à son terme quelles qu’en soient les conséquences sociales. Soit, on passe à autre chose.

  9. C’est comique, à force, cette idée récurrente que la loi serait le moyen d’agir sur la situation des banques.

    Enfin ! Nous savons tous que la loi ne contraint que ceux qui la respectent, c’est à dire vous, moi…..

    Mais pas eux, en aucun cas.

  10. Mardi 3 novembre :

    Londres dévoile un plan massif pour les banques.

    Le gouvernement britannique poursuit son intervention massive du secteur bancaire. Après de premières injections au capital des grands établissements d’outre-Manche il y a plusieurs mois, Londres vient de dévoiler de nouvelles mesures de sauvetage.

    – Première banque visée : Royal Bank of Scotland (RBS), qui va recevoir quelque 25,5 milliards de livres sous forme d’achat d’actions B. L’objectif : renforcer ses fonds propres aujourd’hui beaucoup trop faibles. Et Londres pourrait ne pas s’arrêter là, puisqu’il est prêt à ajouter 8 milliards supplémentaires si le ratio de solidité financière « Tier One » était inférieur à 5 %. Conséquence de cette injection de capitaux : la participation de l’Etat britannique au capital de RBS se hissera de 70,3 % à 84,4 %.

    – Lloyds Banking Group (LBG) va également étoffer son assise financière. Détenue à 43 % par l’Etat britannique, le groupe va lever quelque 21 milliards de livres, dont 13,5 milliards récoltés grâce à une augmentation de capital.

    http://www.lesechos.fr/info/finance/300387158-londres-devoile-un-plan-massif-pour-les-banques.htm

    En clair : les banques anglaises sont comme les banques américaines, françaises, allemandes, espagnoles, etc.

    Quand ça va bien, les banquiers s’en mettent plein les poches.

    Quand ça va mal, les contribuables paient des dizaines de milliards pour sauver les banques.

    Quelle est la devise des banquiers ?

    « Pile, je gagne. Face, les contribuables perdent, et je gagne aussi. »

    1. La question que je me pose est :
      Est-ce vraiment un sauvetage ou
      une consolidation en prévision d’une tempête…???

  11. Des nouvelles du front:

    En Espagne, selon la ministre de l’Emploi, les choses « s’améliorent », puisqu’il n’y a eu que 98.906 chômeurs de plus en Octobre (260.000 de plus les trois derniers mois), ce qui fait 3.808.353 en tout (990.327 de plus en une année).

    Et avec 17,9 % de chômage on est loin d’être au bout du tunnel, puisque certains prévoient un chômage à 21 % au printemps 2010.

    http://es.biz.yahoo.com/03112009/185/paro-subio-98-906-personas-octubre-3-808-353-desempleados.html
    http://www.eleconomista.es/economia/noticias/1635429/10/09/La-tasa-de-paro-puede-tomarse-un-respiro-pero-le-quedan-muchos-meses-de-subida.html

    1. Ce taux de chômage est effrayant – quand on sait en outre qu’il est sous-estimé.
      Heureusement que les Espagnols ne sont sortis du franquisme qu’il y a trente ans et sont logiquement des europhiles béats. Heureusement également que la solidarité familiale joue pleinement son rôle sinon…

  12. Le gouvernement allemand laisse filer la dette tout comme les autres.
    La finalité de toutes ces dettes à travers le monde, ne serait elle pas de se trouver effacées du fait de l’impossibilité de les rembourser?
    Ce point commun entre les grandes puissances devenant le préalable à toute négociation pour un nouvel
    ordre économique mondial?
    Cette idée me trotte dans la tête depuis longtemps, les stratégies mises en place par les uns ou les autres, aboutissent toutes à une aggravation énorme empêchant toute idée de remboursement compte tenu des montants faramineux.
    Les USA ayant donné l’exemple, les autres puissances donnent l’impression de vouloir, au plus vite, dépasser
    le point de non retour afin de pouvoir avoir le droit de s’asseoir autour de la table.
    Cette idée devient petit à petit « une idée fixe » et rien n’est plus désastreux que de construire son raisonnement sur une hypothèse fausse. Ais-je vraiment tord?

    1. Avec un d, oui. Tort s’écrit avec un t. Vous avez dû lire trop de mes commentaires bourrés de fautes, et j’ai dû aussi vous influencer en étant tordu.
      Bon, la forme ne doit pas empêcher de considérer le fond.

      Un nouvel ordre économique mondial, nous y allons. De gré (pour les Chinois) ou de force (pour les Américains).
      Et c’est cette nuance qui risque de nous amener quelques problèmes.

      C’est l’énorme sur-capacité de production de métaux et de béton des Chinois qui me gène.
      D’ici qu’ils veuillent nous revendre leur camelote pour rien, je le vois venir.

  13. LA POLITIQUE EXPLIQUEE A MES POTES

    La casse des services publics…ça vous dis quelque chose?

    Réduction des coûts, réduction des budgets de maintenance, réductions de personnel pour privilégier l’actionnariat,… ça vous dis toujours rien?

    L’esprit, la volonté, l’idéal du Conseil National de la Résistance fait sûrement sourire les prolos dans les chaumières de la douce France. Le bon français ne se passionne plus que pour les chanteuses du moment et le sport. Il a tort!

    Autres temps, autres mœurs
    La télé-réalité est également là pour vous cacher la vraie réalité. Dormez bonnes gens, ne dérangez pas ceux qui transforment en vaches à lait (quitte à faire crever la vache par manque de soins), ces services qui faisaient partie de votre confort quotidien. Ah! les postiers, Ah! les agents EDF, Ah! ces pourris de fonctionnaires…vous en verrez de moins en moins c’est sûr! Il seront remplacés par de pauvres bougres mal payés, mal motivés. En résumé…

    Vous paierez plus (faut pas rêver!),
    Vous aurez moins (tant pis pour vous!).

    Les héritiers-enfants-gâtés que nous sommes ne s’intéressaient même plus à ce patrimoine que leurs vertueux anciens leur avaient laissé. D’autres, plus retors plus âpres au gain, ont raflé la mise. Chacun est libre de ses choix, mais chacun devrait s’informer. Questionnez un syndicaliste du service public. Il se fera un plaisir de vous faire part de ses observations. Comme ça vous saurez.

    ON VOUS DIT TOUT
    Mais pas assez fort pour que vous l’entendiez…

    Qu’est-ce qui vous passionne ? : le foot, les plans cul soft ou peu plus hard? C’est OK vous en trouverez.
    Qu’est-ce qui reviens régulièrement sur l’écran? : les trucs les plus creux; les plus vides de sens, les non événements. Du genre…
    La reine Trucmuche portait un gilet bleu; le couturier Untel s’est fait lifter; on retrouvé un type (il était au bistrot d’à côté) qui a vu le type qui a dit qu’il ne dirait rien; le Boucher de Senlis à découpé sa femme avec une scie de charpentier et une journaliste baratine pendant une heure devant le seuil d’une maison entouré de barrières type 14 juillet. Heureusement elle a un chouette décolleté. (la journaliste, pas la femme du boucher, la pôvre!)

    De quoi ne vous parle t’on JAMAIS ? : de l’argent qui circule…, ou alors en 20 secondes à travers un discours volontairement incompréhensible. De l’utilité de certains budgets, des vrais raisons de notre politique vous n’en saurez rien ou juste ce qu’il faut pour ne rien paner. Vous avez dit démocratie?

    COMME ON AIME BIEN RIRE UN PEU

    On a le droit de regarder les mecs et les nanas qui nous amusent en pointant nos petits travers mais…
    On a surtout pas le droit de regarder les mecs et les nanas qui nous amusent en pointant des sujets un peu plus « chauds «  ou confidentiels ou a fort enjeu économique.
    Et pendant ce temps là il s’en passe des trucs…. T’as pas idée.
    Tu me crois pas? Et bien parlons d’une certaine crise (dont on à pas fini de payer la facture) et de ce qui s’en est suivi…accroche-toi, tu vas rire!

    Plus les shadocks pompaient plus il n’y avait rien qui se passait

    Paul JORION lui aussi a bien raison

    LES SUBPRIMES

    Le système financier est en train de te dévorer et pourtant c’est toi qui l’a nourri en bossant.
    D’abord les revenus de ta force de travail ont disparut dans la poche des actionnaires comme tu sais. En même temps en s’attaquant aux services publics, la haute finance a mis la main sur notre bien commun (centrales nucléaires, mutuelles, industrie…et tutti-frutti). JOSPIN, SARKO même boulot.
    Il ne te restait plus grand chose pensais-tu. On ne tond pas un œuf. Erreur! On t’appâte avec des crédits dont on sait très bien que tu ne pourras pas les rembourser et on tire un bon coup avec une saisie-arrêt pour faire venir ce qui peut te rester sur le budget nourriture-habillement…par exemple.
    C’est une pratique vraiment rentable au point que les banques s’échangent ces dossiers…après les avoir titrisés, c’est à dire transformés en promesses de bonnes affaires.
    En clair « Mr MACHIN me doit 100 euros et il est incapable de me rembourser comme le prévoit le contrat scélérat que je lui ai fait signer, donc on peut avec cette reconnaissance de dette lui faire cracher 300 euros » Je vais essayer de trouver quelqu’un qui m’en donne 150 tout de suite. Je gagne moins mais c’est plus rapide pour moi.
    La banque BOUFFE-TOUT qui va racheter le dossier MACHIN mettra cette dette dans un petit panier pour le revendre en bourse à la banque JENVEU avec d’autres dossiers. Mr MACHIN, angoissé, crevé de dettes, qui ne sait plus comment subvenir au besoin des siens, accablé de recommandés culpabilisants peut bien aller se pendre, la machine est lancée. Les banques DONEMOITOU et JACAPAR concurrentes de la banque BOUFFE-TOUT veulent elles-aussi de ces dossiers juteux pour les revendre au fond de pension SITENCREV. Il y a de la demande, alors l’offre suit. Les vendeurs de crédit bricolent des formules ingénieuses (maison + bagnole gratos, … si, si), démultiplient les vecteurs d’endettement, la publicité affole les enfants-prescripteurs-d’achat et les cartes de crédit sont distribuées comme des bonbons,….empoisonnés. Le nombre de dossiers de surendettement grimpe à vue d’œil . Les banquiers qui résonnent avec leur estomac se goinfrent au point d’en perdre la raison tandis que le fond de pension SITENCREV se croit à l’abri de valeurs gravées dans le marbre des maisons vendues à crédit.
    Les bilans, comme les dossiers de crédit, sont soigneusement truqués car tout le monde veut participer à la curée. Mr MACHIN (qui est, je voulais dire ETAIT, toujours bien habillé) a bien pu déclarer à son pourvoyeur de crédit un salaire annuel de 50000 euros, personne n’a sérieusement vérifié. Les organismes chargés d’évaluer les performances des établissements financiers et qui dépendent d’une manière ou d’une autre de ces mêmes établissements ont continué à leur distribuer des bon points. Et un jour un incident fait exploser la bulle. On connait un peu mieux la suite. Quoique…

    LES MAUVAISES LANGUES NOUS DISENT…
    IL PARAITRAIT QUE…

    Le regonflement de la bulle est TRES temporaire

    BOUFFE-TOU, DONEMOITOU, JENVEU et JACAPAR tendent leur sébille à tout va (je dis bien à tout va, l’état, la mafia, qui tu veux). Par ailleurs tout un tas de petits porteurs ont gobé le bobard balancé dans tous les médias d’un rebond de l’activité outre-atlantique et ils ont acheté à tour de bras pour se faire ratisser le lendemain. Les gros mangent les petits, c’est la nature. Les infos juteuses sont réservées aux fortunes sérieuses. Les riches vont rentrer dans leurs fonds. Rassuré….?

    BOUFFE-TOU, DONEMOITOU, JENVEU et JACAPAR ne veulent qu’on donne de mauvaises habitudes à la masse des petites gens en laissant filer les salaires.
    Mais…
    Tu fera pas redémarrer un constructeur si personne n’achète de bagnole ou de maison, ni tourner les services si tout le monde se coiffe à la maison et part en vacances chez tatie Françoise. Pourtant personne n’a prévu d’augmenter les salaires. Sauf les salaires de ceux qui en ont pas besoin. C’est sûrement pour pas créer de sentiment de jalousie entre les ouvriers. Il y a pourtant des boites qui ont les moyens de lâcher un peu plus à leurs employés éventuellement en rognant sur le salaire du PDG. J’ai dit quelque chose qu’il fallait pas dire?

    Une bonne guerre, un attentat…ça rend service
    Ça efface les traces de malversations contenues dans les dossiers détruits dans les « bombardements »
    Ça te bricole un bouc émissaire, avec ou sans barbe, plus vrai que nature.
    Ça débarrasse des plus teigneux. (syndicalistes, agitateurs du mauvais bord…)
    Ça occupe la conscience populaire qui tremble encore plus fort, cette fois, pour ses mioches en train de tirer sur d’autres mioches…qui avaient rien demandé
    Ça crée de l’activité, c’est stimulant pour l’économie (Hitler qui a spolié beaucoup de gens a toujours payé les banques recta, et jusqu’au bout).

    Les retraités de SITENCREV n’ont qu’à retourner au boulot (feignants!) Non mais ! Je t’en foutrais moi des retraites! D’ailleurs SITENCREV va fusionner avec VIENPATEPLAINDRE.

  14. Je pense que vous avez tort en effet : car en imaginant un tel schéma, vous prêtez aux gouvernants un raisonnement qu’ils n’ont certes pas . Certes nous aimons tous, et nous prêtons tous aux puissants des raisonnements machiavéliques. Mais pour ce faire il faudrait une vision à long terme , – pire : une vision partagée par les chefs d’Etat- et une vision à long terme se construit : et forcément cela passerait par un débat public
    Je pense personnellement être plus dans le vrai en faisant le pari de l’honnêteté des dirigeants. Ils n’ont pas prévu la crise ( on sait pourquoi), et donc fatalement ils se rabattent sur les leçons du passé qu’ils appliquent aveuglément : c’est pour cela qu’ils font tous du keynesianisme.
    Tant qu’il n’y aura pas le début d’une réflexion théorique – au delà du blog de P Jorion ! – on ne peut qu’attendre un tel comportement. Par contre vous pourrez dire que quelque chose change si l’on commence à percevoir des conséquences politiques de la crise.
    Aux Etats Unis : qua nd vous commencerez à lire des articles sur le thème : « nous américains sommes en train de perdre notre hégémonie et de notre crédibilité , il faut faire quelque chose » , ou en Europe » quand vous verrez des articles sur le thème : l’europe doit inventer une nouvelle voie collectivement »
    Personnellement je ne vois rien venir de cela. Mais je ne lis pas tout et si des lecteurs on vu des choses , je suis curieux .
    amicalement

    1. « Certes nous aimons tous, et nous prêtons tous aux puissants des raisonnements machiavéliques. Mais pour ce faire il faudrait une vision à long terme , – pire : une vision partagée par les chefs d’Etat- et une vision à long terme se construit : et forcément cela passerait par un débat public »

      La vision a long terme existe et elle est partagée par la plupart : obtenir plus de pouvoir et de richesses. Pas besoin de machiavélisme pour ça, mais ca ne l’empêche pas non plus pour les plus doués d’entre eux.
      Et c’est partagé avec les entreprises qui ne cherchent essentiellement que plus de profit. Donc, tout cela existe, et est connu du public. Le débat, par contre, c’est autre chose ! lol

  15. @ François

    J’apprécie comme toujours vos articles. Sur celui-ci, j’ai deux remarques à vous faire.

    1 Il semble que personne, à l’exception des banquiers centraux (?), ne sache pourquoi les centaines de milliards de dollars ne peuvent pas servir, ou très incomplètement, à l’économie réelle. C’est affaire de comptes.

    Comme vous le savez, seules les banques et le Trésor ont des comptes ouverts à la banque centrale, ce qui signifie que la monnaie centrale ne peut s’échanger qu’entre titulaires d’avoirs en compte chez elle et que donc elle ne quitte jamais l’Institut d’émission, parce qu’elle ne le peut pas. On peut le vérifier très facilement. Une banque X voudrait prêter une somme de 100.000 unités monétaire (UM) à une entreprise A, en utilisant ses disponibilités à la Banque centrale qu’elle ne le pourrait pas, puisque A n’a pas de compte ouvert à la Banque centrale. Elle se trouve dans l’obligation de créer de la monnaie secondaire pour satisfaire la demande de son client.

    Cependant, le Trésor disposant lui aussi d’un compte à la Super banque sert de sas entre les deux monnaies qui sont placées dans deux compartiments étanches. Car, si la monnaie centrale ne quitte pas l’Institut d’émission, la monnaie secondaire ne quitte pas elle non plus le système bancaire qui l’a créée.

    Le Trésor, agent non bancaire, sert de passerelle ou de sas entre les deux monnaies, centrale et secondaire, par les échanges qu’il pratique avec les autres agents non bancaires puisque le seul compte dont il dispose est ouvert à la Super banque.

    L’interdiction faite par le Traité de Maastricht en Europe a pour conséquence de priver totalement l’économie réelle de monnaie puisque le Trésor Public n’est pas alimenté en monnaie centrale par la Super banque sous forme d’avances ou de prêts. Les Anglais, qui n’ont pas adhéré au traité de Maastricht, ne sont pas tombés dans ce piège.

    En Europe, les centaines de milliards d’euros déversée entre les mains des banques ne servent absolument à rien, excepté aux banques entre elles.

    2 Il semble qu’ici aussi, on ignore qu’en matière d’échanges internationaux, il existe un règle qui peut s’exprimer comme suit :

    Quand il y a un exportateur dans un pays, il y a un importateur dans un autre pays, et comme la valeur de l’échange est la même pour les deux parties, on peut avancer qu’à l’échelle de la planète, les exportations sont égales par définition aux importations.

    De cette règle, découle une autre égalité, c’est qu’à la somme des balances bénéficiaires d’un ensemble de pays correspond par symétrie la somme des balances déficitaires de l’ensemble des autres pays. La croissance dont bénéficient certains pays du fait d’excédents commerciaux extérieurs a pour contrepartie symétrique des pertes de croissance résultant des déficits commerciaux pour les autres pays, ce qui veut dire en clair que la croissance des uns se fait, toutes proportions gardées, au détriment de celle des autres.

    Comme chacun de ces derniers s’efforce naturellement de réduire l’endettement généré par le déséquilibre de ses échanges extérieurs, créant ainsi une situation conflictuelle, on comprend pourquoi les soldes des balances commerciales restent voisins de zéro. Le cas des Etats-Unis paraît bien être l’exception qui confirme cette règle.

    On peut en déduire qu’il n’existe pas d’autre véritable croissance qu’intérieure. Et ceux qui croient tirer avantage du déséquilibre des autres se trompent lourdement, car dans cette guerre « économicide » qui fait rage un excédent commercial n’est jamais acquis.

    Enfin, un déficit commercial engendre un déficit financier équivalent dont l’accumulation a très vite fait de constituer une limite naturelle difficile à franchir.

    C’est pourquoi, il est vain de croire que tous les pays peuvent exporter. La mondialisation des échanges est une formidable imposture.

    Bien cordialement

    jean

  16. Louis XVI s’est fait couper la tête sans avoir trahi son peuple.
    Qu’est-ce que le Tiers Estat pouvait-on alors lui reprocher ?
    d’être le descendant de Louis XIV et Louis XV et de pomper trop d’impôt pour « Sa Maison » ?
    La France comptait alors 26 millions d’âmes.
    Sur ce total 2% vivait au crochet de la Maison Royale ou de l’Eglise (abbayes, monastères, etc.)
    Le Clergé monopolisait 40% des richesses foncières. Les féodaux (ducs, comtes, etc.) …
    Bref au total 350.000 nobles et 150.000 clergymen (haut et bas clergé).

    Les noms des quatre premiers créanciers de la Banque Centrale des Banques Centrales sont secrets,
    comme d’ailleurs les 148 plus petits qui suivent. Tout de même inouî ! ça ne choque pas nos Régaleurs Furtifs.
    Au moins, Louis XVI, les fançais connaissaient son nom et savaient où il habitait.

    Tiens, ClownBlanc, ce courriel venant de Rhône-Alpes est pour toi.
    Il te préconise de prendre en compte :
    www.financialsecrecyindex.com
    et
    www.taxjustice.net/cms/front_content.php?idcat=136

  17. FinancialSecrecyIndex – Section 3
    Why this matters
    The World Bank has endorsed estimates by Washington-based Global Financial Integrity (GFI) in 2005 that illicit financial

    flows across borders range between 1.0 and $1.6 trillion per year. In 2009, GFI calculated illicit cross-border flows out of developing countries alone at approximately $850 billion – $ 1 trillion. With annual global foreign aid flows currently

    averaging some $100 billion per year, this led Raymond Baker, GFI’s Director, to conclude in testimony before the U.S. House of Representatives that 

    “for every dollar Western governments have been handing out across the top of the table, crooked Western banks, businesses and middlemen of various descriptions have been taking back up to ten dollars of illicit proceeds under the

    table.”

    International financial secrecy, and the jurisdictions that sell it, are at the heart of the matter. The time has come to identify the culprits.
    Read more… 


     
    Which jurisdictions are included in the FSI, and why?
    The FSI includes every one of the 60 jurisdictions identified by the Mapping the Faultlines project (see below), our 18 month research programme funded by

    the Ford Foundation, which started to come online in early October 2009.
    We know from our extensive research that the core selling point of what are popularly known as "tax havens" is not tax, but secrecy. Tax considerations, and others, are always secondary to the provision of secrecy.
    We therefore use the term "secrecy jurisdiction" instead. What secrecy jurisdictions do, above all, is to provide facilities that enable people or entities to undermine the laws, rules or regulations of other jurisdictions,

    using secrecy as their prime tool.
    Read more here about how we selected the secrecy jurisdictions.
    Hmm…
    Il faudrait rapprocher cela de ce qui suit :
    – Transactions interbancaires incontrôlables en eurodevises ( €$, €€, €Y, €£,…)
    – Transactions interdynastes des banques ventrales et autres IFM, Institutions Financières Monétaires
    – Transactions « Tansnationales Economie Réelle » pour IDE, Investissements Directs à l’étranger (eurodevises et monnaies « domestiques »)
    – Transactions « Transnationales Economie Réelle » pour Exports en amont, Prix-de-Transfert Détournés, Imports vers Marché final de consommation

    Q: Qui pourrait rappeler combien les banques ventrales ( BRI, fednewyork, BCE, Bank-of-England, FMI, Bank-of-China, etc. ) ont déversé depuis janvier 2008, par trimestre ou

    semestre ?

  18. Les dysnastOgres [ topCtrl Euroclear+BRI+fedNewyork+BCE+etc] et
    leurs séides régaleurs impériaux, furtifs
    (Brown+Sarko+Merkel+Mussolini+Obama+Junker+etc)
    sont a-anglosaxons, a-arabes, a-chinois, a-européens.

    à Paul Jorion, auteur du billet
    Paragraphe 2 – Ligne 2


    De plus en plus nombreuses, des voix s’inquiètent en effet de la formation d’une nouvelle bulle financière résultant de l’envol actuel du marché des actions grâce à la quasi gratuité de l’argent dispensé par les banques centrales.

    C’est la mise à disposition de trillions (euros, dollars) accompagnée de swaps déments, sans aucune traçabilité des opérations qui est apocalyptique et tragique, nullement le fait que les taux soient proches de zéro.
    Déjà dans les sphères bancaires (simple intermédiation sans prise de risque par la banque, refinancement auprès d’une Sofaris ou équivalent, etc.) où les risques sont nuls, il devrait être obligatoire d’observer TBB=0 et taux commerciaux inférieurs à

    1%.
    Quand il s’agit comme en 2008-2009 de faire marcher la planche à billets sans analyse-de-risques par la Banque Centrale
    (dans le simple but que les banques épongent leurs pertes, leurs frasques et autres saloperies douteuses ayant mal tournées, à charge pour elles d’évaluer leurx éventuels nouveaux risques)
    il n’y a pas llieu de s’étonner que le taux banque centrale soit voisin de zéro; il devrait même être franchement nul.

    Maintenant venons progressivement à la voie en impasse.

    Parmi les Régaleurs impériaux-et-Furtifs qui se présentent au public avec une casquette à la marque d’un parti qui défendrait l’un des peuples européens, considérons celui à la banderole tricolore : bleu+blanc+rouge,
    c.a.d. Monsieur Nicolas Sarkozy.

    Dans ce qui suit, il n’y est sans doute pour rien. Je n’en sais rien.
    Je ne suis pas sorcier; je ne sais pas lire dans les viscères de crapaud;
    Je ne suis pas davantage Madame Irma ou Madame Soleil.
    Se serait-il entièrement fait roulé dans la farine par ses amis banquiers ?
    Qui pourrait le dire ?
    Ce qui est sûr c’est qu’il continue de participer
    l’escroquerie la plus gigantesque depuis tous les temps.
    Qui peut croire que les Régaleurs impériaux-et-Furtifs ne soient — à 100% — que de misérables petits pantins entre les tentacules des dynastOgres ? N’y avait-il pas moyen de parler avec franchise.

    Maintenant l’euro et le dollar sont-elles deux monnaies absolument foutues ?
    Serait-ce une question de point de vue ?

    Si vous estimez que
    l’argent volé par les Amis des Régaleurs (banquiers, non résidents champions en offshore et prix-de-transfert honteux) et
    l’argent gagné honnêtement
    ont rigoureusement le même « droit de cité » dans la cité
    vous vous portez bien si vous êtes « Ami des Régaleurs » (ami des escrocs des banques centrales)
    Pour les autres, in fine
    votre pouvoir d’achat se sera réduit d’environ 50%.

    le jour où la masse monétaire aura doublé par rapport 2006-2007,
    en supposant que les actifs n’aient pas eux-mêmes perdus de leur valeur.

    Eh oui ! … on ne joue pas avec la monnaie comme si c’était des perles ou des diamants.
    perles et diamants peuvent au moins servir à embellir une parure au cirque ou pour un bal costumé
    ce n’est pas même une finalité pour la monnaie surabondante.

  19. à : Paul Jorion
    Objet : TooBig_to_Fail, TBTF   A la fin du billet, je relève ceci


    La seconde     que la fiction d’une liste d’entreprises TBTF confidentielle

    (avant d’éviter qu’elles bénéficient d’un aléa moral en connaissance de cause,
      pouvant toujours organiser leur insolvabilité en cas de problème)
    est proprement risible. La (…)

    Bien sûr, c’est proprement grotesque,
    et encore plus avec les Special Vehicles de l’offshore (sociétés écrans, Trusts, fiducies, & Cie)
    ( Dover, Francfort, Basel, City-of-London (via Euroclear), Luxemburg (via Clearstream), etc. etc. )
    qui débordent de liquidités volées aux contribuables

    99.99% des gens ont le besoin IMPERATIF du contraire :
    PRIORITE n°1 : Démanteler (détruire) les TooBigToFail en priorité

    [1] L’équarrissage des banques existantes, avec topPriorité aux megaBanques et banques les plus opaques (commandites,…)
    et/ou
    [2] la création ex-nihilo de nouvelles banques fraîches avec de nouvelles monnaies
    sont
    deux options incontournables

    Ces deux options sont très différentes.
    Considérons la première option
    « Equarrir les banques existantes »

    Sauriez-vous différenciez :
    (a) les euros des escrocs, ceux déversés par centaines de milliards,
          par les opaqDynastes et leurs seides furtifs aux Banques ventrales, sans aucun droit de regard par le public
    (b) les euros gagnés honnêtement.

    Dans l’affirmative comment feriez-vous ?

    Très bonne journée
    Cordialement

  20. Chômage de 10, 15, ou 20% ???
    On est plutôt a 50, 60, ou 80% de chômage oui !!!
    Quand on voit l’utilité de la plupart des boulots qu’on nous propose …
    L’industrie pharmaceutique qui ne fait que produire des nouveaux médicaments qui ne servent a rien.
    L’industrie automobile qui ne nous sert que des plats réchauffés.
    L’industrie informatique, idem.
    On a atteints des paliers dans beaucoup trop de domaines. L’innovation est en panne. On tente de nous vendre les mêmes plats réchauffés encore et encore. Y a un moment ou tout simplement, on vomi.
    Et les grosses masses de populations ne font que ça : s’occuper a produire des trucs plus ou moins totalement inutile, et a en renouveler l’apparence pour continuer a vendre, et a en dégrader la qualité pour continuer à vendre.

    En vrai, a quoi ca nous de changer de téléphone, voiture, écran télé, etc… tous les 6 mois ???

    Je vous le dis, on arrive a bout des ruses pour occuper les gens et masquer que le chômage « objectif » (celui ou on enlève les emplois non productif et non innovants) est plutôt inversé. C’est 10, 15 ou 20% de la population qui font vraiment vivre les autres.

  21. Erreur ci-dessus, je m’adressais à l’auteur du billet, c.a.d. François Leclerc
    à Hagar [00:23] et Thomas [10:46]
    En complément à ce que dit clairement François Leclerc.
    Le taux d’intérêt maléfique initié par BRI, Banques Ventrales (TBB, Taux de Base Bancaire)
    et autres gredins-filous au top de la British Bankers Association (BBA) pour les eurodevises
    – gonfle les dettes, y compris celles à taux variable « outstanding » (en cours),
    – accélère et enfle le travail de sangsues des banques et régaleurs associés
    – paupérise les individus dont les revenus (mensuels ou trimestriels) ou les économies antérieures ne suivent la hausse des « protégés de la sale farce ignoble » dont les salaires sont indexés sur l’inflation
    En général la Noblesse et le Clergé de l’Empire Furtif
    sont indifférents au Tiers Etat et
    s’indignent de la liberté de parole de celles et ceux qui critiquent l’Etat

    A vrai dire, la tête dans le sable,
    elles (et ils) sont persuadé(e)s de tout voir et décrypter très bien

    A regarder de près, la partie financière et furtive de ce qui s’appelle « Etat », est m¤ff¤¤s¤,
    illégitime au vu des décisions (prises et non prises), mi-irresponsable mi-inqualifiable.

    Le mot « Etat » serait-il sacré comme « Dieu » ou « Freud » ou « Ratzinger » ?

  22. @ybabel

    enfin un raisonnement qui sonne juste 🙂

    vous avez oublié l’industrie des « loisirs » , jeux vidéo, musique , variété , films , etc …
    l’exemple le plus flippant .. avec Michael Jackson. nous avons là atteint des sommets dans le recyclage .

    ce qui me sidère, c’est les dizaines de personnes, oreillettes sur les oreilles, pendant mes trajets métros/trams, dans ces moments là je rêve de mettre au point l’arme ultime, celle capable d’envoyer des « parasitages » sur tout ces appareils destructeurs de communication orale..

    le monde est devenu bizarre…..
    réflexion d’un « vieux » en manque de vie plus « normale »..

  23. Auguste, avez-vous terminé la cartaographie que vous aviez commencé? Ne serait-il pas temps pour vous de faire un exposé clair et « accessible » à la manière de celui de Paul sur la monnaie, sur le fonctionnement du système « offshore » et les mesures à prendre (comme l’équarissage en 7 parties plutôt que 2, par exemple…).

  24. Pour ce qui est de l’Etat, le Dieu mortel, ce dernier est historiquement paré de tous les attributs de la puissance divine reconnus par le christianisme (il faudrait « détailler »). Ce n’est pas la un hasard. Le concept d’Etat est un exemple typique de sécularisation de concept théologique. Comme la quasi totalité de nos concepts politiques. Donc oui l’Etat est sacré, et les fonctionnaires sont de bons chrétiens ;-).

  25. l’argent va à l’argent,il est déconnecté de l’économie réelle à charge pour le politique d’étaler le maquillage à renfort de formules absconses.que peut il résulter d’un tel système si ce n’est l’actuelle distorsion du marché de l’emploi qui va devenir tout à fait insupportable(madrid annonce ce matin plus de 4 millions de personnes à la recherche d’un emploi).c’est celà qui est déraisonnable,la perspective de sociétés exaspérées pretes à toutes les aventures y compris les plus extremes.je vous assure que dans les milieux politiques actifs de plus en plus d’élus prennent conscience de la situation mais n’obtiennent aucune réponse si ce n’est que celà ira surement mieux demain.

  26. @F. LECLERC
    Quelques solutions sont esqiuissées cà et là, qui viseraient à limiter les conséquences sur l’économie des risques pris par les banques:
    – l’augmentation de leurs fonds propres en fonction des risques pris
    mais qui identifie les risques et contrôle la congruence des fonds?
    – la création de structures interbancaires chargées de recapitaliser les banques en diificulté
    mais n’est ce pas encourager une forme de laxisme
    – la séparation des banques d’investissement et des banques de détail
    mais P. JORION doute que cette séparation soit étanche et évite réellement toute contamination
    Il me semble que toute la problématique tourne autour de la nature et du niveau de risque pris par les banques et des modalités de confinement en cas de problème.
    Question:
    est-il possible de redéfinir le rôle optimum des banques en considération du système économique dans son ensemble et de la collectivité qui finit par payer à un moment où à un autre quand elles sont en situation difficile ?
    est-il possible en conséquence d’édicter des règles simples qui permettraient de limiter strictement la nature et le niveau des risques pris par une banque?
    Quelles seraient les conditions pour qu’existent enfin des autorités de contrôle des banques indépendantes et efficaces?
    PS: si la solution est la nationalisation qui contrôle l’état et avec quels moyens?
    Re PS: merci de peser soigneusement vos réponses, elles seront certainement reprises dans les articles de la constitution pour l’économe …… 🙂

  27. A propos d’une sortie de crise par la reprise et donc la Croissance… Qui dit croissance économique dit croissance matérielle… ou alors il faut m’expliquer par quel miracle on peut connaître la croissance sans produire, consommer et au final gaspiller plus aujourd’hui qu’hier, moins aujourd’hui que demain !
    Or il faut comprendre ce qu’est la croissance, mathématiquement et physiquement parlant. Pour exemple à consommation constante, s’il faut mille (1000) ans pour épuiser une ressource non renouvelable quelconque, il suffit de quarante neuf (49) ans pour l’épuiser avec une « croissance » de 10% l’an. Prenez vos calculettes ou mieux faites un petit tableau exell pour vous en convaincre…

    Partant du constat qu’il nous faut diminuer nos émissions de GES, diminuer l’extraction de nos ressources non renouvelables (énergie fossiles, matières premières…) dont les pics de productions sont atteints ou en passe de l’être, faut-il vraiment tabler sur la croissance pour améliorer notre sort quotidien de chômeurs potentiels et pour relancer l’enrichissement des plus riches qui se fait actuellement sur le dos des contribuables (français, européens, étasuniens…) ?
    La réalité est têtue !

  28. Je me lance !

    Je ne crois pas qu’un « confinement » soit possible. Pourquoi d’ailleurs faudrait-il accepter que le casino reste ouvert, même si son accès devenait réservé ? Réservé à qui et pourquoi faire ?

    Sa fermeture, c’est à dire la prohibition de la grande majorité des produits financiers inventés durant les trois dernières décennies, ainsi que celle des paradis fiscaux, me semble être la seule alternative, aussi radicale qu’elle puisse paraître. Le reste est replâtrage.

    Le système financier ne peut avoir d’autre raison d’exister que d’être un instrument au strict service de l’économie et de la société, ce qui implique la fin du capitalisme. On ne voit d’ailleurs pas pourquoi, au regard de la crise actuelle, cet horizon serait en soi indépassable.

    Pour commencer, un processus de « définanciarisation » des activités économiques et sociales devrait être engagé. Quant à la question de l’Etat, elle ne se pose pas en terme de « contrôle » mais de refondation. La démocratie économique porte en elle le dépassement des formes actuelles de la démocratie politique.

    1. François Leclerc a écrit @ 3 novembre 2009:

      « La démocratie économique porte en elle le dépassement des formes actuelles de la démocratie politique. »
      Rien n’est plus exact.
      Et comme il n’y a pas moins démocratique que la façon dont naît l’argent, spécialement aujourd’hui,
      il y a ceci, d’ailleurs en germination en plusieurs endroits du monde. La critique du sytème financier coule de source. Et ceci depuis bien longtemps avant la crise présente, bien que l’ignorance ait été maintenue comme garante et tranquilité du système à présent fichu. Il est maintenant temps de passer à un mode de construction et de fonctionnement d’une économie saine, et garder la critique bancaire pour la pédagogie.

      http://www.yhad.fr/yhad_eco/comprendre/precurseurs/5-even2.htm

  29. Le principe de la retraite vieillesse a été implémenté par Otto von Bismarck vers 1890. L’âge de cette retraite a été fixé à 65 ans, âge qui, en cette fin du 19ième siècle, était inférieur à l’espérance de vie.

    Un enfant qui naît aujourd’hui, aura toutes les chances de vivre une centaine d’années.

    Plutôt que de s’attaquer de front à ce problème, des générations de politiciens (qui s’approchaient de cet âge…) ont laissé ce fardeau aux suivants.

    Le système économique devant s’adapter en permanence à l’augmentation vertigineuse du nombre de personnes à la retraite et ce, sans pouvoir modifier la variable de l’âge de la retraite, a dû en utiliser une autre : la rentabilité exigée sur les capitaux.

    En simplifiant, cette rentabilité exigée est passée à partir des années 80 d’un taux réaliste de 5% à un taux de 15%, impossible à tenir par l’économie réelle.

    Un autre phénomène est peu mis en lumière dans la crise actuelle : l’accélération de la productivité par le progrès technologique. Cette nouvelle donne vient violemment contredire le scénario de reprise économique traditionnel qui veut que les chômeurs d’aujourd’hui seront à nouveau nécessaires quand l’économie repartira. Pour en être convaincu, il suffit d’écouter le silence assourdissant des politiques de tous bords quand ils sont interrogés sur les métiers qui porteront la croissance future…

    Différents scénarios possibles, du plus doux au plus dur :

    1. décroissance organisée
    2. diminution des rentes
    3. augmentation régulière de l’âge de la retraite en fonction de l’espérance de vie
    4. suicide organisé pour ceux qui en font la demande (selon le film « Soleil vert » de Richard Fleischer)
    5. suicide collectif à partir d’un certain âge (selon le roman « Départs Anticipés » de Christopher Buckley)
    6. diminution de la population mondiale par une guerre à grande échelle et reconstruction (selon Alain Minc)

    1. « Un enfant qui naît aujourd’hui, aura toutes les chances de vivre une centaine d’années. »
      Ca ressemble à une fable. Ce sont des projections faites à partir de l’âge de la mort de gens aujourd’hui (bien réels eux) qui sont nés, ont vécu à une époque dont les conditions de vie sont différentes de celles des enfants qui naissent maintenant, dans un autre environnement, et dont on ne connait pas le futur. Aujourd’hui l’espérance de vie stagne déjà dans certains des pays les plus développés. Et baisse même pour certains, exemple aux US. Je crains que les prédictions statistiques n’aient aucun sens sur cette matière.

    2. Justifier la rentabilité par les capitaux pour payer les retraites est une fable qui a beaucoup servie avec des resultats trés remarqués. Si les vieux américains vous attrapent vous allez passer un mauvais 1/4 d’heure.

    3. On nous sert sans cesse l’augmentation de l’espérance de vie avec des statistiques réalisées sur la génération de nos parents.
      Que sera l’espérance de vie pour les 15% d’obèses qui existent dans la jeunesse actuelle,pour les gros bébés bourrés de cholestérol, de diabète, intoxiqués par la cigarette voire la drogue….Cela élèvera sans doute la moyenne de l’espérance de vie.

  30. Le FMI vient de vendre 200 tonnes de son or à la Banque centrale indienne. Le programme était prévu, rien à dire. Mais sa justification, outre les nouveaux prêts à consentir, devrait soulever l’hilarité : la cession « doit aider le Fonds à remettre ses finances sur une base solide sur le long terme » a déclaré DSK. Pour le FMI, le dollar est donc plus « solide » que le métal. Voilà pourquoi François Leclerc ne sera jamais DG de cette institution 🙂 D’ailleurs, « le bénéfice doit être investi dans des actifs financiers sûrs, principalement des emprunts d’Etat, ce qui lui rapportera des revenus réguliers ». Bon, il reste quand même 2.800 tonnes dans les coffres du FMI (enfin, si l’on en croit son bilan…)

  31. à François Leclerc [17:37]
    De mon point de vue, il m’apparait, à ce stade, impossible d’espérer
    – Arrêt du casino (pas évident du tout et pas en 24 mois) sans confinement préalable.
    En outre, il est à souligner que nous ne sommes pas face à un unique casino
    mais à tout une gamme de formes de casinos hétérogènes, différents (eurodevises, monnaies domestiques,
    produits dérivés, etc. etc.) qui, en outre, actuellement s’entrelacent de différentes manières.

    Quant aux formes juridiques, montages et réseaux « secrets bancaires hiérarchisés et tax havens »
    c’est encore tout un monde. Il m’apparait totalement impossible d’avancer un Programme apparemment factible sur le papier, sans pré-établir des sous-ensembles initiaux ex-nihilo, sans isoler des activités du cancer généralisé

    L’existant est peu réformable et il est sujet à un siècle d’habitudes et de certitudes. Néanmoins, simultanément, il faut aussi prévoir frontières, saucissonnages, mises en quarantaine, mises à l’écart, montage de sous-ensembles
    en milieu hostile, etc.

    1. Le système a bien failli s’effondrer de lui-même. Une des plus belles frayeurs de financier jamais connue, en vérité ! Le démanteler est certes une autre affaire.

      Il est en réalité très fragile, comme nous venons de le constater. Des mesures partielles pourraient beaucoup le diminuer en restreignant ses champs d’action. C’est le cas de l’interdiction des paris sur les prix que propose Paul.

      On voit actuellement, dans la lutte farouche qui est menée pour restreindre la future régulation par les lobbies financiers, comment le système financier se sent vite atteint dans ses oeuvres.

      Quand à la mise en cause de l’accastillage juridique et institutionnel de la finance moderne, Il y a eu dans l’histoire une revendication ouvrière qui était « ouvrez les livres de comptes! », elle pourrait avantageusement être actualisée, pour commencer.

  32. à antoineY |13:58]
    Oui, il est temps … (…)
    Pour partager l’état de mon avancement et résumer les dernières difficultés,
    il me faut récupérer dans le répertoire « En Attente«  du ClownBlanc,
    le message qu’il avait écrit le 30 novembre, il y a 3-4 jours,
    juste avant que l’effet « sur-audience » de l’interview à France Culture
    mette en surexcitation le gestionnaire des requêtes d’accès au SGBD (mySQL) de ce blog au logiciel WordPress.
    Alors … voyons voir … 2009m11j30a.htm
    Ah ce n’est pas « LeClownBlanc » c’est « François Jéru » … la différence est bien réelle
    Il n’a pas relu … moi non plus …
    Le titre du billet devait avoir une dominante « philo ».
    Les répliques à Fab, Bouboune, Pierre-Yves D., Moderato-Cantabile se comprendront mieux le jour où le billet du 29 novembre sera remis

    en place (si cela arrive) avec les contributions qui suivaient.

  33. Pour penser j’ai notamment la méthode simple ci-après :
    J’écris sans a priori, sans savoir à l’avance ce que je vais écrire.
    Parfois je pars d’un support; pourquoi ?
    Depuis 10 ans et + j’ai articulé de nombreux concepts personnels originaux, inédits
    en lisant autrui, les deux effets ci-après sont inévitables :
    (a) je suis amené à écrire quelquechose d’autre
    (b) de nouvelles idées me viennent sans les avoir prévues.

    Pourquoi vous dire cela aujourd’hui ?
    En quoi cela pourrait-il vous intéresser ?
    Eh bien hier, en solo, simplement pour moi,
    je ré-écrivais ainsi l’article « Pouvoir d’achat » de wikipedia.
    Vous vous doutez bien que ça a un rapport avec les flux monétaires et les monnaies.
    Et alors
    Dieefi !   Idee imprevue !   je suis le fil … j’écris … … in fine
    … un résultat … imprévu
    Il n’est pas nécessaire que tout s’effondre pour changer le système monétaire, au moins partiellement
    – Pour cette partie, il n’est pas nécessaire d’avoir l’accord de la maffia Euroclear-fednewyork-BRI ni de la mascarade G20
    – ça ne touche en rien l’euro qui peut continuer à être utilisé par EADS et toutes les transnationales exportatrices implantées en France
    les banques prédatrices implantées en France peuvent fusionner, s’écrouler, faire ce qu’elles veulent,
    poursuivre sous leur statut de commandite sans bilan publié … c’est sans importance

    Je n’avais pas pensé à cette formule, je l’avoue;
    elle était cependant « sous mon nez »
    la solution tenait à presque rien.
    L’agacement devant toute cette pourriture de sangsues a fait le travail;
    j’ai peu de mérite; mon conscient n’y est surement pour pas grand chose.

    Françaises, Français,
    la voie de l’émancipation est désormais proche

    – Ce n’est qu’une part de la solution, d’accord, mais elle présente l’avantage d’être cohérente avec la suite,
    c.a.d. quand la BRI sera dissoute et que deux autres monnaies (dans mes cartons) remplaceront le pack pourri » €$, €€, €Y, €£, $, €, Y, £ »

    – Cette première monnaie (je n’ai pas son nom) que je vais vous proposer de mettre en place en France
          – n’est pas sujette aux paris et à la spéculation
          – n’est pas sujette à l’inflation ( matières énergétiques importées mises à part)
          – n’a pas besoin de Banque Ventrale ( ventrue, corrompue, centrale)
          – n’a pas besoin de caves et de stocks d’or
    Le prix de l’or peut être divisé par vingt, c’est sans importance.

    Cette prochaine proposition s’inscrit dans le contexte que vous connaissez

    Les politiques du G20 n’apporteront aucune solution à rien.
    Ils ne sont pas même motivés à chercher à savoir s’il serait bénéfique ou dommageagle de
    découper les métiers des actuelles banques universelles en …
    sept ou tout autre chiffre (inférieur ou supérieur).
    Ils n’ont pas à penser au fond. Ce n’est pas ce qui leur est demandé.
    Pensez à l’acteur Reagan ou au splendide « Gérard Philippe » qu’est Obama.
    A l’arrière-plan les silencieux poussent parfois, à petite dose, des demi-médiatisés.
    Parmi eux, les représentants des TrésorsNégatifs avec la plus lourde ardoise
    (Trichet, DSK,…). Les politiques médiatisés ne sont pas motivés et ne le seront jamais, motivés.
    Ils gesticuleront, feront les singes.
    Conditionnés ils le sont,
    Occupés ils le sont … un quinquennat c’est si court.
    Tout le monde n’a pas une aussi longue carrière que Foccard.
    ou aussi courte que Bérogovoy, de Grosouvre, Boulin

    Les risques sont partout plus élevés :
    (a) sous l’effet de masses furtives et volages plus volumineuses, les variations de cours sont plus turbulentes et incertaines,
    (b) la concentration bancaire est plus forte ce qui accentue davantage le rackettage « Guerre-des-Etoiles » megaPuissant,
    (c) cet Ubac, sombre, parasitaire, est sans limite en rien :
    ni dans les métiers, ni dans les normes, ni dans les acquisitions sur l’économie réelle, ni …, ni …
    L’ubac alimente la fournaise apocalyptique des Enfers qu’il suscite pour 99.99% des ménages.
    sept Enfers ai-je évoqué récemment à côté de l’Acte II Orpheo+Eurydice de Gluck.
    L’ubac titanHauteFinnace calamine à la baisse les perspectives des transnationales,
    sauf celles qui distribuent l’essentiel vital : l’eau, les aliments et qq bricoles … les incontournables,
    avant de crever la bouche ouverte.

    En outre, grâce à ces moins-que-rien du G20,
    les banques ont désormais des trillions (x fois 1000 milliards) pour spéculer davantage
    sans pour autant ( je les comprends fort bien; c’est justifié)
    assouplir quoi que ce soit aux conditions d’allocation d’un crédit.
    Bien au contraire,
    c’est évident : les risques sont partout plus élevés (cf. supra) Des sûretés réelles bien supérieures sont requises.

    Bref, l’incohérence la plus totale nous surplombe 24h/24.

    Je pensais qu’il fallait vraiment attendre que tout s’écroule avant d’engager
    la complète ingénierie générale de l’Adret avec nouveau Système Monétaire Glocal (SMG)

    Etant très conservateur sur bien des points (mes vieilles chemises, mes vieux bouquins, …)
    il me semblait « être bon citoyen » que d’essayer de sauver ce qui pourrait l’être des organisations en place,
    le changement est toujours à réduire aau maximum quand on peut
    d’où l’idée de mes aimables 133 petits coups de morphing sur les 133 BercyProgrammes de la LOLF
          c’est maintenu bien sûr; je propose … rien de plus … ce seront aux débats citoyens d’apprécier s’il vaut mieux pousser tel ou tel curseur un peu, moyennent, au max ou, au contraire, pas du tout.
    d’où aussi l’idée de faire voler de leurs propres ailes des sous-ensembles existants des banques existantes
    des sous-ensembles des « banques universelles« .
    Que cherchent-elles ?
    le contraire ? Etre encore plus effrayantes et dangereuses,
    avec des transactions toujours aussi « messy » et incontrôlables en grande part.
    Messieurs les topTop, à gros ou petit « haut-de-bilan » en France, cela vous perdra.
    En 20xx, vous pourrez dire que vous êtes vous même responsables de votre chute.

    Contrairement à ce que vous croyez, ce sont les petites et moyennes banques
    celles que vous convoitez ou essayez simplement d’étrangler et faire disparaitre
    qui vont s’en sortir, pour le cas où elles arriveraient à tenir quelques semestres.

    Ce jour j’ai révisé l’articulation du Système Monétaire Glocal (SMG) que j’espère voir émerger le moment venu.
    [Nota: ça ne ressemble en rien à ce que pourriez imaginer à partir de l’existant].
    Pour polir un peu la présentation il me faudrait un(e) aide
    un(e) linguiste connaissant l’étymologie de l’alphabet grec ou phénicien.
    En effet il y a le besoin de trois « éléments » (caractères symboliques) pour caractériser ces classes de monnaies.
    des caractères puissent se coder en HTML pour apparaitre aisément sur Internet
    soit dans le code <math> soit dans le code ISO Latin 1
    α β γ δ ε &vepsilon; ζ η θ &vtheta; κ
    ν   Ξ   ϖ   ϱ  
    ISO Latin1 : Þ (thorn)   Ð (eth)   ¿   ¶   ¤   ë

    Sur wikipedia, il y a aussi des caractères grecs anciens inusités très jolis :
    koppa (origine de kopek ?) – sampi (très beau pour une monnaie, par essence d’échange)
    – digamma (deux gammas décalés formant une sorte de F) – &vsigma; stigma (qui correspond à une ligature)
    Le codage HTML m’est inconnu.

    Au delà de la calligraphie s’il y avait une réminiscence étymologique intéressante ce serait mieux.

    Pour les monnaies bien sales et furtives de l’UBAC que proposeriez-vous ? β comme bête, beta, boue ?
    Pour ce qui évoque l’investissement avancé et le progrès ? la tradition ? etc.
    Les Anciens des premières écritures devaient surement avoir ce type de préoccupation en tête
    quand ils choissisaient la forme d’un caractère. Je penses aux vagues de la mer pour le « m »

    – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – –

    à Fab le 29 oct à 07:18

    Une augmentation des bas salaires,
    sachant comme vous le dites que les « bas salaires » ont tendance à consommer plutôt qu’à épargner,
    ne risque-t-elle pas de provoquer :
    * une augmentation de la pollution (cent ans !) ET
    * une habitude de surconsommation (…) — Même question en l’élargissant aux BRIC et autres pays à faible PIB/hb

    Disposer d’un logement plus économe en énergie et/ou plus grand pour avoir un solide hobby
    plutôt que d’être passif à suivre des enfumages et niaiseries à la télé
    n’est pas un luxe et ne devrait pas détruire la planète.

    (…) si l’on enlève (*) à cet homme (…) son occupation principale, à savoir la course à la consommation via la course au gain d’argent,
    ne pensez-vous pas qu’il risque de s’ennuyer grave, cet homme ?

    Il faut du temps hors de « metro-boulot-dodo » et des medias stupides ou au-fil-de-l’eau
    pour s’instruire, aller emprunter des livres, créer.
    En étant raduc en salaire et contraint de « Travailler Plus Pour … »
    pour observer un pouvoir d’achat déclinant du fait des banques-pirates ça va à l’opposé de ce qu’il faudrait faire.

    Le fait de supprimer les paris sur l’évolution des prix est sûrement techniquement, purement économiquement, une bonne chose

    … supprimer les paris ?
    Mes douze Forces d’ingénierie générale (Fi1 à Fi12) et de Faisabilité ( socio-statutaire, bancaire, économique, technique, politique, etc.)
    confirment que c’est jouable,
    (1°) pour les eurodevises et
    (2°) pour les monnaies domestiques
    et ce très paisiblement … tout ce que j’affectionne.

    (…) le danger est qu’en supprimant la motivation d’une partie des individus
    (qui plus est des individus parmi les plus motivés par cette course à l’argent)
    cette démotivation risque de se propager de façon extrêmement rapide…

    Au cours de ma longue expérience, biodiverse,
    je pris plaisir (fierté) — en MoneyMarkets Devises et en MarchésMonétaires Domestiques —
    à réaliser des logiciels très sioux,
    à fortes vertus tant opérationnelles que stratégiques.
    Ce fut fait très vite, en FORTRAN (c’est dire comme c’est récent !), peut-être un mois … je ne me souviens plus exactement.
    Alors que j’étais à NewYork ce fut ré-écris par Arthur Andersen, dupliqué dans tous les Offices JP Morgan de la planète.
    Depuis, m’a t-on dit dans la décennie 80, ça porte un nom en anglais et toutes les banques ont cela.
    Un chasseur de têtes me donna le nom, mais je ne m’en souviens plus.

    Le merdier actuel – post Reagan+Thatcher — n’était pas encore en vigueur.
    Je peux vous dire : même pour un salaire de pdg vous ne m’auriez jamais fait faire le métier de trader.
    Alors que j’étais à New-York on me demanda de revenir aux MoneyMarkets (c’était compréhensible, cf. supra)J’ai dit non, dit ma préférence.
    On m’envoya dans la City à Londres
    pour être plus expérimenté qu’au Rockfeller Center et à WallStreet;
    en analyse de risques de crédit « Economie Réelle » surtout moyen terme et long terme.
    Pour bien des étudiants normalement éduqués,
    les premières motivations sont nullement l’appât du gain.
    Avant Reagan-Thatcher un trader avait besoin de savoir prêter et emprunter des tranches de salami sur un marché de Corrèze;
    on ne lui demandait de jouer avec des produits dont les designers n’en connaissent pas mêmes les risques approximatifs.

    à Bouboune le 29 oct à 08:08

    Je ne suis ni anthropologue ni sociologue mais je suis quasi certain que le fait qu’une petite caste puisse se gaver honteusement et
    aux dépens de la collectivité toute entière ne constitue en aucune manière une « motivation » pour le reste de la population…

    Ce que j’en pense personnellement ?
    C’est certain, pas « quasi certain ». La grande majorité est écoeurée, dégoûtée.
    Travailler pour des directions un peu moins systématiquement malhonnêtes à grande échelle ça aiderait aussi.
    Un exemple :
    oObserver les créanciers de la BRI encaisser 40 milliards € (2008) sans risque,
    sans impôt, sans projet, sans lever le petit doigt à faire quoi que ce soit,
    Ecoeurant. Et la plaisanterie dure depuis 80 ans.
    Faites le total avec des taux qui dépassèrent parfois 10% à 12%
    De surcroit ce sont les mêmes qui jouent le Diable sur les cours des devises, les cours du pétrole et des matières premières.
    Le peuple (plus de 99.99%) doit arrêter cela, contourner les politiques professionnels du style PsMdmUmp (les partis « de gouvernement »),
    dissoudre la BRI.
    En référence au propos de 08:08
    ce genre d’exemple démotive 99.99% sauf les charlatans des Parlements du G20
    les gouverneurs des Banques Ventrales trouvent cela parfait.
    Cet exemple n’est pas dans la lutte de Boeing contre Airbus pour enlever un marché
    … avec des efforts colossaux : coopérations industrielles, concessions, enjeux d’emplois en divers pays, etc.
    Pour mémoire la documentation d’un Airbus est le poids d’un Airbus; c’est tout de même autre chose.

    à Fab le 29 oct à 09:25

    Le fait que la finance
    – par ses magouilles incessantes, en ponctionnant l’argent produit par l’économie que certains continuent à qualifier de réelle –
    oblige la société réelle à continuer à travailler et à consommer toujours davantage est aux yeux des politiques un gage de stabilité
            ( »pendant ce temps-là au moins, ils ne font pas de conneries ! ») (…)
    Ce n’est donc pas que ceux que vous nommez petite caste soient « visuellement » un exemple, mais simplement qu’ils permettent de garantir la motivation des troupes.
    Une image, ce n’est qu’une image : qu’adviendrait-il de la loterie nationale sans gros lot ou si tout un chacun avait la certitude de remporter régulièrement une petite somme.
    La raison n’enseigne-t-elle pas de ne pas prendre son prochain, qui plus est celui que nous avons élu, que pour un con ?

    Qui a dit qu’il l’était ?
    Personne ou très peu. Beaucoup pense même le contraire. C’est pourquoi il ne revoteront jamais pour lui.
    Pourquoi ? parce cette stabilité,
    ces gesticulations dans tous les sens pour garantir le statu quo de l’horreur, les Enfers induits par
    ce système pourri des Banques Ventrales à TrésorNégatif (plus de 1300 milliards €)
    plus personne n’en veut

    à Pierre-Yves D. le 29 oct à 11:27
    C’est toujours un plaisir de vous lire. Je ne connais pas ce M. Bernard Stiegler.
    De mon point de vue il est dans le vrai.
    les cadres-robots, sous stress, travaillent déjà trop et sont cocoonés pour ne même plus avoir les atouts dont ils disposaient quand ils étaient à l’âge du lycée.
    On ne peut traiter les salariés comme des objets et leur balancer « travailler plus pour gagner plus ».
    On ne peut pas demander à des robots enfermés dans des cadres d’organigrammes, des procédures strictes et des préjugés systématiques
    (Ex. Lombard France Telecom) à prendre du recul et créer de véritables richesses saines.
    Pomper 29.99€ par foyer en réduisant tous les budgets au maximum n’est pas une politique.
    J’en ai une toute autre pour la télématique en France, vraiment créatrice de richesses et d’enthousiasme (c’est un a parte)br>

    Le 11 aout 2009, sur le wesite euroclippers.typepad.fr:80/alerte_ethique [ A lire !! ]
    Jean-Charles Duboc, ancien commandant de bord B 747 à la compagnie Air France (retraité) 56 ans, ex miliant UMP pendant 15 ans. En démissionnant récemment, il rappelait ceci :

    Le général de Gaulle avait qualifié François Mitterrand du délicieux sobriquet d’« arsouille ».

    et il précise, pour que nul n’en ignore

    « et nous trouvons sur le web : « vaurien, gouape, frappe, fripon, canaille, chenapan, crapule, dévoyé, garnement, gredin, voyou, sacripant, fripouille, galapiat ».

    A moderato-cantabile le 29 oct à 18:30

    Comme disait Paul Jorion (…) il faut retourner à la « bifurcation »

    La montée au pouvoir (1981) de l’arsouille, avec sa clique d’imposteurs, est, pour moi, une des « bifurcations »
    L’esprit court-termiste, le gain rapide, la recherche du retour max sur investissement,
    toute l’inhumanité des dirigeants de l’époque commença à ronger la France plus vite qu’avant.
    Exemple: Thomson (Gomez, Goutard).
    A l’arrivée de ces messieurs 14 ou 17 Branches (époque Ph. Giscard d’Estaing aux Affaires Internationales, DINT)
    attachée à la holding Thomson-Brandt.
    A leur départ ou celui de l’arsouille : une seule Branche, unique, subventionnée par le contribuable (Thales : commandes d’Etat).

    Autre document sur le web de Jean-Charles Duboc, le 27 octobre 2008, une video intitulée
    DSK chimpanzé en rut !
    le mâle dominant, primaire !
    video, chez Ardison, de la femme ayant failli se faire violer
    Mais dans quel monde vivons nous ? … ce n’est pas possible

    Ce système des copinages de coquins et des pseudos champions qui reviennent des Etats-Unis (Gomez, Lagarde, etc.) n’est pas durable.
    Le Tiers Estat fut supprimé par les révolutionnaires français;
    ils prirent la place de la Noblesse;
    leurs descendants n’ont pas rétabli les très maigres contre-pouvoirs qui existaient sous l’Ancien Régime antérieur à 1790.

    Comme son nom l’indique, les représentants du Tiers Estat comptaient pour un tiers c’est-à-dire pour rien.
    (corrigez-moi)
    220 ans plus tard il est nécessaire de faire émerger une représentation neuve, réellement populaire, en amont et en aval du Parlement
    qui ne soit pas composée de ces « charlatans Paris-Neuilly-Passy Gauche-Droite » qui occupent, à eux-seuls, le terrain depuis trop longtemps.

    TuThor … (ne devrais-je pas apprendre à jurer ?) … Vingt Dieux ! … (ça va?)

    Il y a suffisamment de diplômé(e)s complémentaires et d’expériences brillantes également complémentaires.

    Ces personnes de talents [F&H], toutes extérieures aux « professionnels de la politique » (de la magouille cf. arsouille)
    feront l’objet de certifications et habilitations. Suffisamment nombreuses ces personnes seront tirées au sort par collège.
    Question :
    Que diriez-vous du mot Adrestat ou Adretat ? pour ce « Tiers Etat » éclairé comme l’adret ?
    Auriez-vous une autre suggestion ?

    Pour rester simple et clair, il est concevable de mixer en seulement 12 collèges

    (1°) les douze mosdimensions (mosdims), récursives, qui sont entre autres typologies, nécessaires
        pour structurer la Pensée, et

    (2°) les douze Forces d’ingénierie générale et de systémier (F) qui,
        en monde régalien ou entrepreneurial privé (local ou transfrontières), sont nécessaires
        pour planifier et mener l’Action au succès
    En bref : Prochainement vous apprendrez à goûter ces mos1 à mos 12 et ces Fi 1 à Fi12
          Pour l’instant c’est pour vous du charabia. Cela ne durera pas.
          J’ai des dessins et personnages, de la musique et du fun aussi.
          Ce n’est pas dramatique si mes propos semblent encore ésotériques. J’ai du retard sur mon planning.
    En bref : 12 collèges hététérogènes de complémentarités au max suffisent.
    La typologie de ces 12 collèges couvre excellemment ( après 18 ans de travail et + sur cette question, c’est mon opinion )
    toutes les pensées éthiques, socio-économiques, etc. auxquelles vous pouvez penser comme
    toutes les forces singulières des ingénieries générales pour l’action.

    Première application de cette ingénierie :

    Faire entrer en vigueur la monnaie de nos territoires « départementaux »
        (cf. supra une lettre phénicienne ou approchante à trouver)
    « départementaux » c’est la façon provisoire que j’ai retenu à ce stade pour me faire comprendre; il n’y a rien de départemental
    Cela veut dite que le (la) citoyen(ne), insérée en son territoire local pour la plupart de ses décaissements de l’année
    n’a pas pour habitude d’acheter une turbine pour barrage ou une flotte d’Airbus.

    Prenez n’importe quel bilan de « banque universelle » à équarrir
        (cf. mes contributions récentes antérieures)
    les flux monétaires liant Passif bancaire et Actif bancaire sont très très hétérogènes.
    Beaucoup trop hétérogènes d’ailleurs, d’où la nécessité d’équarrir.
    Rien ne justifie que le seul référentiel furtif de la poignée de xenDynastOgres
    ( € et taux de conversion sous tutelle des spéculations BRI avec €€, €Y, €£, $, Y, £,..)
    soit utilisé
    Deuxième application de l’ingénierie Fi1-Fi12 :

    Démarrer le protypage de LucidClearing
    la version définitive de ce réseau se mettra en parallèle d’Euroclear pour les Affaires Civiles de haute transnationalité
    type TGV ou turbines de barrage en Chine ou Airbus pour compagnies étrangères.

    Très bonne journée
    Cordialement.

  34. Pour penser j’ai notamment la méthode simple ci-après :
    J’écris sans a priori, sans savoir à l’avance ce que je vais écrire.
    Parfois je pars d’un support; pourquoi ?
    Depuis 10 ans et + j’ai articulé de nombreux concepts personnels originaux, inédits
    en lisant autrui, les deux effets ci-après sont inévitables :
    (a) je suis amené à écrire quelquechose d’autre
    (b) de nouvelles idées me viennent sans les avoir prévues.

    Pourquoi vous dire cela aujourd’hui ?
    En quoi cela pourrait-il vous intéresser ?
    Eh bien hier, en solo, simplement pour moi,
    je ré-écrivais ainsi l’article « Pouvoir d’achat » de wikipedia.
    Vous vous doutez bien que ça a un rapport avec les flux monétaires et les monnaies.
    Et alors
    Dieefi !   Idee imprevue !   je suis le fil … j’écris … … in fine
    … un résultat … imprévu
    Il n’est pas nécessaire que tout s’effondre pour changer le système monétaire, au moins partiellement
    – Pour cette partie, il n’est pas nécessaire d’avoir l’accord de la maffia Euroclear-fednewyork-BRI ni de la mascarade G20
    – ça ne touche en rien l’euro qui peut continuer à être utilisé par EADS et toutes les transnationales exportatrices implantées en France
    les banques prédatrices implantées en France peuvent fusionner, s’écrouler, faire ce qu’elles veulent,
    poursuivre sous leur statut de commandite sans bilan publié … c’est sans importance

    Je n’avais pas pensé à cette formule, je l’avoue;
    elle était cependant « sous mon nez »
    la solution tenait à presque rien.
    L’agacement devant toute cette pourriture de sangsues a fait le travail;
    j’ai peu de mérite; mon conscient n’y est surement pour pas grand chose.

    Françaises, Français,
    la voie de l’émancipation est désormais proche

    – Ce n’est qu’une part de la solution, d’accord, mais elle présente l’avantage d’être cohérente avec la suite,
    c.a.d. quand la BRI sera dissoute et que deux autres monnaies (dans mes cartons) remplaceront le pack pourri » €$, €€, €Y, €£, $, €, Y, £ »

    – Cette première monnaie (je n’ai pas son nom) que je vais vous proposer de mettre en place en France
          – n’est pas sujette aux paris et à la spéculation
          – n’est pas sujette à l’inflation ( matières énergétiques importées mises à part)
          – n’a pas besoin de Banque Ventrale ( ventrue, corrompue, centrale)
          – n’a pas besoin de caves et de stocks d’or
    Le prix de l’or peut être divisé par vingt, c’est sans importance.

    Cette prochaine proposition s’inscrit dans le contexte que vous connaissez

    Les politiques du G20 n’apporteront aucune solution à rien.
    Ils ne sont pas même motivés à chercher à savoir s’il serait bénéfique ou dommageagle de
    découper les métiers des actuelles banques universelles en …
    sept ou tout autre chiffre (inférieur ou supérieur).
    Ils n’ont pas à penser au fond. Ce n’est pas ce qui leur est demandé.
    Pensez à l’acteur Reagan ou au splendide « Gérard Philippe » qu’est Obama.
    A l’arrière-plan les silencieux poussent parfois, à petite dose, des demi-médiatisés.
    Parmi eux, les représentants des TrésorsNégatifs avec la plus lourde ardoise
    (Trichet, DSK,…). Les politiques médiatisés ne sont pas motivés et ne le seront jamais, motivés.
    Ils gesticuleront, feront les singes.
    Conditionnés ils le sont,
    Occupés ils le sont … un quinquennat c’est si court.
    Tout le monde n’a pas une aussi longue carrière que Foccard.
    ou aussi courte que Bérogovoy, de Grosouvre, Boulin

    Les risques sont partout plus élevés :
    (a) sous l’effet de masses furtives et volages plus volumineuses, les variations de cours sont plus turbulentes et incertaines,
    (b) la concentration bancaire est plus forte ce qui accentue davantage le rackettage « Guerre-des-Etoiles » megaPuissant,
    (c) cet Ubac, sombre, parasitaire, est sans limite en rien :
    ni dans les métiers, ni dans les normes, ni dans les acquisitions sur l’économie réelle, ni …, ni …
    L’ubac alimente la fournaise apocalyptique des Enfers qu’il suscite pour 99.99% des ménages.
    sept Enfers ai-je évoqué récemment à côté de l’Acte II Orpheo+Eurydice de Gluck.
    L’ubac titanHauteFinnace calamine à la baisse les perspectives des transnationales,
    sauf celles qui distribuent l’essentiel vital : l’eau, les aliments et qq bricoles … les incontournables,
    avant de crever la bouche ouverte.

    En outre, grâce à ces moins-que-rien du G20,
    les banques ont désormais des trillions (x fois 1000 milliards) pour spéculer davantage
    sans pour autant ( je les comprends fort bien; c’est justifié)
    assouplir quoi que ce soit aux conditions d’allocation d’un crédit.
    Bien au contraire,
    c’est évident : les risques sont partout plus élevés (cf. supra) Des sûretés réelles bien supérieures sont requises.

    Bref, l’incohérence la plus totale nous surplombe 24h/24.

    Je pensais qu’il fallait vraiment attendre que tout s’écroule avant d’engager
    la complète ingénierie générale de l’Adret avec nouveau Système Monétaire Glocal (SMG)

    Etant très conservateur sur bien des points (mes vieilles chemises, mes vieux bouquins, …)
    il me semblait « être bon citoyen » que d’essayer de sauver ce qui pourrait l’être des organisations en place,
    le changement est toujours à réduire aau maximum quand on peut
    d’où l’idée de mes aimables 133 petits coups de morphing sur les 133 BercyProgrammes de la LOLF
          c’est maintenu bien sûr; je propose … rien de plus … ce seront aux débats citoyens d’apprécier s’il vaut mieux pousser tel ou tel curseur un peu, moyennent, au max ou, au contraire, pas du tout.
    d’où aussi l’idée de faire voler de leurs propres ailes des sous-ensembles existants des banques existantes
    des sous-ensembles des « banques universelles« .
    Que cherchent-elles ?
    le contraire ? Etre encore plus effrayantes et dangereuses,
    avec des transactions toujours aussi « messy » et incontrôlables en grande part.
    Messieurs les topTop, à gros ou petit « haut-de-bilan » en France, cela vous perdra.
    En 20xx, vous pourrez dire que vous êtes vous même responsables de votre chute.

    Contrairement à ce que vous croyez, ce sont les petites et moyennes banques
    celles que vous convoitez ou essayez simplement d’étrangler et faire disparaitre
    qui vont s’en sortir, pour le cas où elles arriveraient à tenir quelques semestres.

    Ce jour j’ai révisé l’articulation du Système Monétaire Glocal (SMG) que j’espère voir émerger le moment venu.
    [Nota: ça ne ressemble en rien à ce que pourriez imaginer à partir de l’existant].
    Pour polir un peu la présentation il me faudrait un(e) aide
    un(e) linguiste connaissant l’étymologie de l’alphabet grec ou phénicien.
    En effet il y a le besoin de trois « éléments » (caractères symboliques) pour caractériser ces classes de monnaies.
    des caractères puissent se coder en HTML pour apparaitre aisément sur Internet
    soit dans le code <math> soit dans le code ISO Latin 1
    α β γ δ ε &vepsilon; ζ η θ &vtheta; κ
    ν   Ξ   ϖ   ϱ  
    ISO Latin1 : Þ (thorn)   Ð (eth)   ¿   ¶   ¤   ë

    Sur wikipedia, il y a aussi des caractères grecs anciens inusités très jolis :
    koppa (origine de kopek ?) – sampi (très beau pour une monnaie, par essence d’échange)
    – digamma (deux gammas décalés formant une sorte de F) – &vsigma; stigma (qui correspond à une ligature)
    Le codage HTML m’est inconnu.

    Au delà de la calligraphie s’il y avait une réminiscence étymologique intéressante ce serait mieux.

    Pour les monnaies bien sales et furtives de l’UBAC que proposeriez-vous ? β comme bête, beta, boue ?
    Pour ce qui évoque l’investissement avancé et le progrès ? la tradition ? etc.
    Les Anciens des premières écritures devaient surement avoir ce type de préoccupation en tête
    quand ils choissisaient la forme d’un caractère. Je penses aux vagues de la mer pour le « m »

    – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – –

    à Fab le 29 oct à 07:18

    Une augmentation des bas salaires,
    sachant comme vous le dites que les « bas salaires » ont tendance à consommer plutôt qu’à épargner,
    ne risque-t-elle pas de provoquer :
    * une augmentation de la pollution (cent ans !) ET
    * une habitude de surconsommation (…) — Même question en l’élargissant aux BRIC et autres pays à faible PIB/hb

    Disposer d’un logement plus économe en énergie et/ou plus grand pour avoir un solide hobby
    plutôt que d’être passif à suivre des enfumages et niaiseries à la télé
    n’est pas un luxe et ne devrait pas détruire la planète.

    (…) si l’on enlève (*) à cet homme (…) son occupation principale, à savoir la course à la consommation via la course au gain d’argent,
    ne pensez-vous pas qu’il risque de s’ennuyer grave, cet homme ?

    Il faut du temps hors de « metro-boulot-dodo » et des medias stupides ou au-fil-de-l’eau
    pour s’instruire, aller emprunter des livres, créer.
    En étant raduc en salaire et contraint de « Travailler Plus Pour … »
    pour observer un pouvoir d’achat déclinant du fait des banques-pirates ça va à l’opposé de ce qu’il faudrait faire.

    Le fait de supprimer les paris sur l’évolution des prix est sûrement techniquement, purement économiquement, une bonne chose

    … supprimer les paris ?
    Mes douze Forces d’ingénierie générale (Fi1 à Fi12) et de Faisabilité ( socio-statutaire, bancaire, économique, technique, politique, etc.)
    confirment que c’est jouable,
    (1°) pour les eurodevises et
    (2°) pour les monnaies domestiques
    et ce très paisiblement … tout ce que j’affectionne.

    (…) le danger est qu’en supprimant la motivation d’une partie des individus
    (qui plus est des individus parmi les plus motivés par cette course à l’argent)
    cette démotivation risque de se propager de façon extrêmement rapide…

    Au cours de ma longue expérience, biodiverse,
    je pris plaisir (fierté) — en MoneyMarkets Devises et en MarchésMonétaires Domestiques —
    à réaliser des logiciels très sioux,
    à fortes vertus tant opérationnelles que stratégiques.
    Ce fut fait très vite, en FORTRAN (c’est dire comme c’est récent !), peut-être un mois … je ne me souviens plus exactement.
    Alors que j’étais à NewYork ce fut ré-écris par Arthur Andersen, dupliqué dans tous les Offices JP Morgan de la planète.
    Depuis, m’a t-on dit dans la décennie 80, ça porte un nom en anglais et toutes les banques ont cela.
    Un chasseur de têtes me donna le nom, mais je ne m’en souviens plus.

    Le merdier actuel – post Reagan+Thatcher — n’était pas encore en vigueur.
    Je peux vous dire : même pour un salaire de pdg vous ne m’auriez jamais fait faire le métier de trader.
    Alors que j’étais à New-York on me demanda de revenir aux MoneyMarkets (c’était compréhensible, cf. supra)J’ai dit non, dit ma préférence.
    On m’envoya dans la City à Londres
    pour être plus expérimenté qu’au Rockfeller Center et à WallStreet;
    en analyse de risques de crédit « Economie Réelle » surtout moyen terme et long terme.
    Pour bien des étudiants normalement éduqués,
    les premières motivations sont nullement l’appât du gain.
    Avant Reagan-Thatcher un trader avait besoin de savoir prêter et emprunter des tranches de salami sur un marché de Corrèze;
    on ne lui demandait de jouer avec des produits dont les designers n’en connaissent pas mêmes les risques approximatifs.

    à Bouboune le 29 oct à 08:08

    Je ne suis ni anthropologue ni sociologue mais je suis quasi certain que le fait qu’une petite caste puisse se gaver honteusement et
    aux dépens de la collectivité toute entière ne constitue en aucune manière une « motivation » pour le reste de la population…

    Ce que j’en pense personnellement ?
    C’est certain, pas « quasi certain ». La grande majorité est écoeurée, dégoûtée.
    Travailler pour des directions un peu moins systématiquement malhonnêtes à grande échelle ça aiderait aussi.
    Un exemple :
    oObserver les créanciers de la BRI encaisser 40 milliards € (2008) sans risque,
    sans impôt, sans projet, sans lever le petit doigt à faire quoi que ce soit,
    Ecoeurant. Et la plaisanterie dure depuis 80 ans.
    Faites le total avec des taux qui dépassèrent parfois 10% à 12%
    De surcroit ce sont les mêmes qui jouent le Diable sur les cours des devises, les cours du pétrole et des matières premières.
    Le peuple (plus de 99.99%) doit arrêter cela, contourner les politiques professionnels du style PsMdmUmp (les partis « de gouvernement »),
    dissoudre la BRI.
    En référence au propos de 08:08
    ce genre d’exemple démotive 99.99% sauf les charlatans des Parlements du G20
    les gouverneurs des Banques Ventrales trouvent cela parfait.
    Cet exemple n’est pas dans la lutte de Boeing contre Airbus pour enlever un marché
    … avec des efforts colossaux : coopérations industrielles, concessions, enjeux d’emplois en divers pays, etc.
    Pour mémoire la documentation d’un Airbus est le poids d’un Airbus; c’est tout de même autre chose.

    à Fab le 29 oct à 09:25

    Le fait que la finance
    – par ses magouilles incessantes, en ponctionnant l’argent produit par l’économie que certains continuent à qualifier de réelle –
    oblige la société réelle à continuer à travailler et à consommer toujours davantage est aux yeux des politiques un gage de stabilité
            ( »pendant ce temps-là au moins, ils ne font pas de conneries ! ») (…)
    Ce n’est donc pas que ceux que vous nommez petite caste soient « visuellement » un exemple, mais simplement qu’ils permettent de garantir la motivation des troupes.
    Une image, ce n’est qu’une image : qu’adviendrait-il de la loterie nationale sans gros lot ou si tout un chacun avait la certitude de remporter régulièrement une petite somme.
    La raison n’enseigne-t-elle pas de ne pas prendre son prochain, qui plus est celui que nous avons élu, que pour un con ?

    Qui a dit qu’il l’était ?
    Personne ou très peu. Beaucoup pense même le contraire. C’est pourquoi il ne revoteront jamais pour lui.
    Pourquoi ? parce cette stabilité,
    ces gesticulations dans tous les sens pour garantir le statu quo de l’horreur, les Enfers induits par
    ce système pourri des Banques Ventrales à TrésorNégatif (plus de 1300 milliards €)
    plus personne n’en veut

    à Pierre-Yves D. le 29 oct à 11:27
    C’est toujours un plaisir de vous lire. Je ne connais pas ce M. Bernard Stiegler.
    De mon point de vue il est dans le vrai.
    les cadres-robots, sous stress, travaillent déjà trop et sont cocoonés pour ne même plus avoir les atouts dont ils disposaient quand ils étaient à l’âge du lycée.
    On ne peut traiter les salariés comme des objets et leur balancer « travailler plus pour gagner plus ».
    On ne peut pas demander à des robots enfermés dans des cadres d’organigrammes, des procédures strictes et des préjugés systématiques
    (Ex. Lombard France Telecom) à prendre du recul et créer de véritables richesses saines.
    Pomper 29.99€ par foyer en réduisant tous les budgets au maximum n’est pas une politique.
    J’en ai une toute autre pour la télématique en France, vraiment créatrice de richesses et d’enthousiasme (c’est un a parte)br>

    Le 11 aout 2009, sur le wesite euroclippers.typepad.fr:80/alerte_ethique [ A lire !! ]
    Jean-Charles Duboc, ancien commandant de bord B 747 à la compagnie Air France (retraité) 56 ans, ex miliant UMP pendant 15 ans. En démissionnant récemment, il rappelait ceci :

    Le général de Gaulle avait qualifié François Mitterrand du délicieux sobriquet d’« arsouille ».

    et il précise, pour que nul n’en ignore

    « et nous trouvons sur le web : « vaurien, gouape, frappe, fripon, canaille, chenapan, crapule, dévoyé, garnement, gredin, voyou, sacripant, fripouille, galapiat ».

    A moderato-cantabile le 29 oct à 18:30

    Comme disait Paul Jorion (…) il faut retourner à la « bifurcation »

    La montée au pouvoir (1981) de l’arsouille, avec sa clique d’imposteurs, est, pour moi, une des « bifurcations »
    L’esprit court-termiste, le gain rapide, la recherche du retour max sur investissement,
    toute l’inhumanité des dirigeants de l’époque commença à ronger la France plus vite qu’avant.
    Exemple: Thomson (Gomez, Goutard).
    A l’arrivée de ces messieurs 14 ou 17 Branches (époque Ph. Giscard d’Estaing aux Affaires Internationales, DINT)
    attachée à la holding Thomson-Brandt.
    A leur départ ou celui de l’arsouille : une seule Branche, unique, subventionnée par le contribuable (Thales : commandes d’Etat).

    Autre document sur le web de Jean-Charles Duboc, le 27 octobre 2008, une video intitulée
    DSK chimpanzé en rut !
    le mâle dominant, primaire !
    video, chez Ardison, de la femme ayant failli se faire violer
    Mais dans quel monde vivons nous ? … ce n’est pas possible

    Ce système des copinages de coquins et des pseudos champions qui reviennent des Etats-Unis (Gomez, Lagarde, etc.) n’est pas durable.
    Le Tiers Estat fut supprimé par les révolutionnaires français;
    ils prirent la place de la Noblesse;
    leurs descendants n’ont pas rétabli les très maigres contre-pouvoirs qui existaient sous l’Ancien Régime antérieur à 1790.

    Comme son nom l’indique, les représentants du Tiers Estat comptaient pour un tiers c’est-à-dire pour rien.
    (corrigez-moi)
    220 ans plus tard il est nécessaire de faire émerger une représentation neuve, réellement populaire, en amont et en aval du Parlement
    qui ne soit pas composée de ces « charlatans Paris-Neuilly-Passy Gauche-Droite » qui occupent, à eux-seuls, le terrain depuis trop longtemps.

    TuThor … (ne devrais-je pas apprendre à jurer ?) … Vingt Dieux ! … (ça va?)

    Il y a suffisamment de diplômé(e)s complémentaires et d’expériences brillantes également complémentaires.

    Ces personnes de talents [F&H], toutes extérieures aux « professionnels de la politique » (de la magouille cf. arsouille)
    feront l’objet de certifications et habilitations. Suffisamment nombreuses ces personnes seront tirées au sort par collège.
    Question :
    Que diriez-vous du mot Adrestat ou Adretat ? pour ce « Tiers Etat » éclairé comme l’adret ?
    Auriez-vous une autre suggestion ?

    Pour rester simple et clair, il est concevable de mixer en seulement 12 collèges

    (1°) les douze mosdimensions (mosdims), récursives, qui sont entre autres typologies, nécessaires
        pour structurer la Pensée, et

    (2°) les douze Forces d’ingénierie générale et de systémier (F) qui,
        en monde régalien ou entrepreneurial privé (local ou transfrontières), sont nécessaires
        pour planifier et mener l’Action au succès
    En bref : Prochainement vous apprendrez à goûter ces mos1 à mos 12 et ces Fi 1 à Fi12
          Pour l’instant c’est pour vous du charabia. Cela ne durera pas.
          J’ai des dessins et personnages, de la musique et du fun aussi.
          Ce n’est pas dramatique si mes propos semblent encore ésotériques. J’ai du retard sur mon planning.
    En bref : 12 collèges hététérogènes de complémentarités au max suffisent.
    La typologie de ces 12 collèges couvre excellemment ( après 18 ans de travail et + sur cette question, c’est mon opinion )
    toutes les pensées éthiques, socio-économiques, etc. auxquelles vous pouvez penser comme
    toutes les forces singulières des ingénieries générales pour l’action.

    Première application de cette ingénierie :

    Faire entrer en vigueur la monnaie de nos territoires « départementaux »
        (cf. supra une lettre phénicienne ou approchante à trouver)
    « départementaux » c’est la façon provisoire que j’ai retenu à ce stade pour me faire comprendre; il n’y a rien de départemental
    Cela veut dite que le (la) citoyen(ne), insérée en son territoire local pour la plupart de ses décaissements de l’année
    n’a pas pour habitude d’acheter une turbine pour barrage ou une flotte d’Airbus.

    Prenez n’importe quel bilan de « banque universelle » à équarrir
        (cf. mes contributions récentes antérieures)
    les flux monétaires liant Passif bancaire et Actif bancaire sont très très hétérogènes.
    Beaucoup trop hétérogènes d’ailleurs, d’où la nécessité d’équarrir.
    Rien ne justifie que le seul référentiel furtif de la poignée de xenDynastOgres
    ( € et taux de conversion sous tutelle des spéculations BRI avec €€, €Y, €£, $, Y, £,..)
    soit utilisé
    Deuxième application de l’ingénierie Fi1-Fi12 :

    Démarrer le protypage de LucidClearing
    la version définitive de ce réseau se mettra en parallèle d’Euroclear pour les Affaires Civiles de haute transnationalité
    type TGV ou turbines de barrage en Chine ou Airbus pour compagnies étrangères.

    Très bonne journée
    Cordialement.

  35. La contestation mène nulle part.
    Contester c’est admettre que la forme de pouvoir considérée serait légitime … qu’il lui manquerait un peu de transparence

    ou de démocratie.
    Il est plus intéressant d’être inventif, d’imaginer les petits coups de morphing sereins qui conduisent à tout autre chose
    sans chercher coûte que coûte à réformer un mode d’organisation quand il est par essence malsain, irréformable.

    un peu comme ces caractères spéciaux que sont $ € £ sur le clavier d’ordinateur, gravés dans le circuit intégré,

    immuables …
    vraiment ? … parce qu’ils prologent les doigts ?

    Et cependant,
    la stratégie Adret pour s’émanciper de l’emprise des créanciers de Bâle
    est voisine de celle qui permettra à la population pilotée par l’Adret de se réapproprier des marges de manoeuvre

    spectaculaires,
    par exemple dans la Branche Energie.

  36. Ne pas être encore « en émergence » ce n’est pas être lent ou incertain.
    Ne vous faites pas de souci; je suis bien au delà des hypothèses théoriques.

    Les deux objets en chiens-de-faience, l’ADRET encore à distance de l’UBAC sont de taille.
    Le premier virtuel     et le second, UBAC,     on ne peut plus réel, même si plus de la moitié est secrète, opaque,

    incontrôlable.

                    A la suite d’un feedback récent, j’ai écris un additionnel petit texte

    « Ingénierie générale de l’ADRET« 
    l’ingénierie générale c’est notamment planifier
    (avec les ressources financières et humaines)
    la mobilisation, en temps voulu,
    des firmes ( systémiers, opérateurs délégués, etc.).
    Pour survivre, n’ont-elles pas elles aussi besoin de revenus, c.a.d. de contrats ?

    Si vous avez des questions
    — et si vous ne craignez pas d’être frustré(e)s de ne pas avoir immédiatement (toutes) les réponses —
    n’hésitez pas
    Plus de 10 ans de préparation, ce sont des milliers de webpages (écrites par moi) que je n’ai pas revu ( a fortiori relu) depuis des

    années
    Ne serait-ce pas le moment que j’y recircule un peu, même si j’ai d’autres tâches à mener en parallèle ?
    L’échange fait progresser l’opération. Merci à l’avance
    Cordialement,
    François Jéru, animateur LeucoCircus.
    Nota:
    Le blanc, vous le savez, intègre toutes les couleurs du spectre
    Ce rappel peut vous évoquer
    – le premier arc-en-ciel que vous avez admiré enfant et
    – vous aider à décrypter Arkenciel (LeucoCircus)

  37. Bâtir puis CasserEnPartie-et-rebâtir-etc voilà des années que je fais cela, en solo avec moi-même
    Parmi les dizaines de douzaines de structures de contenus,
    des lettres A-à-Z de repérage, notamment K et M-N
    K : pour « Knowledge et Know-How » (structurés; plusieurs douzaines de websites)
    M : pour « Modélisations en Espace-Temps » (prospective et plans-programmes possibles sur les territoires)
    N : pour « Networks (neufs) Parallèles aux existants

    Je vous fais grâce des dizaines de websites rapportés aux caractères qui précèdent (0-9 et A-J) et caractères qui suivent (O-à-X)
    Allez, tout de même quelques repères que vous identifiez plus ou moins :
    A : Adret, c.a.d. websites de l’Adret
    (…)
    g°: GeoDegrés, dont « Sources & Emplois de Fonds » (2067-2047 ~~ 2047-2017 ~~ 2012-2017 )
          G192, G20, Régions ducales et réels espaces glocaux où rendre possible l’appartenance à des groupes

    humains ayant un sens.
    (…)
    k€$^Y£
    kc_opaq, kdev, kg°, klx, ks_breco, kv8
    loi (ici, règles en vigueur)
    (…)
    regal (les parlementaires des « partis de gouvernement » (PsMdmUmpEtc) sont en UBAC, ci-après)
    statuquo ( Ah !       là ! … alala_~~~_là … ya du monde )
    ubac
    (…)
    Cette première série de contenus hétérogènes est dite « Expo_QT » … c.a.d. Des Quartiers
    Elle est dans la Représentation des Concepts innovants et du Réel Existant : Articulations, Noeuds, Dynamiques, Arborescences d’obets

    avec leurs nomenclatures, Définitions, Commentaires, Spécifications, etc.
    Cette première série de websites, « QT », est nullement dans l’Action. On peut dire qu’elle est dans l’aire de « La Pensée ».

    Une seconde série de websites est dite « ExpoPrj@… » … c.a.d. « Expo Propositions de Programmes-Projets en (…espace

    geo ou réseau de villes ..)

    La vocation « Action » de cette seconde série est Maitrise d’Ouvrage, Ingénierie générale, Délégation (…) »
    Voilà plus de 10 ans que je travaille en vase clos — sur mes ordinateurs successifs —
    Je n’avais pas pensé à une telle inaction du G20.
    Je n’avais pas pensé à devoir passer à « Equarissage des banques » de cette manière et devoir moi-même écrire
            « Ingénierie Générale de l’équarrissage des Banques« . J’ai commencé hier.
    Je n’avais pas pensé à devoir préconiser le SMG, Système Monétaire Glocal si tôt et de cette manière
            Il faut que je m’adresse de façon linéaire, structurée et claire à un public large
            Le format livre, avec ses notes progressives en bas de page, est la garantie de cette linéarité.
            Ici, le travail qui me reste m’apparait moins important en hommes-jours.
            En effet, il s’agit essentiellement de trier, simplifier, condenser, rendre agréable, placer dans le meilleur

    ordre possible
    L’accord d’un éditeur devrait être rapide à obtenir.
    Au passage, je vois depuis 2 jours, l’opportunité de ne pas faire de l’entier bénévolat jusqu’à mon dernier souffle.
    Je ne dois pas non plus oublier qu’il manque plus de dix ans à ma retraite.

    Dès le début de l’Armada Télématique que je vais finir par faire émerger prochainement,
    je fais le distingo
    entre
    d’une part, le financement des « projets sociétaux concrets » (en aval des concepts)
    c’est-à-dire faisant l’objet d’une maîtrise d’ouvrage, de maîtrises d’oeuvre hiérarchisées (projets G20, G192,…)
    et de contrats de design, réalisation, formation+mise-en-route, exploitation opérationnelle
    avec ou sans ma contribution
    et
    d’autre part, l’autofinancement de mes contenus d’auteur, notamment les années-hommes déjà consacrées à ce travail

    personnel.
    Je vais bien arriver à trouver une façon de prélever un % — j’espère minime — sur ce qui précède (les « projets sociétaux concrets ») pour

    constituer un micro-fond d’épargne me permettant de racheter les années de retraite qui me manquent.

    Ce serait mérité si mon prochain rôle de coordinateur permet d’aboutir à l’une des finalités recherchées :

    un réseau bancaire où les paris sur les monnaies seront sans objet.

    Il y a une semaine je pensais qu’il fallait que tout s’effondre.
    Cela m’apparaissait comme le chemin le plus sûr
    pour qu’on soit obligé de construire sur des bases viables.
    Est-il moins « dommageable » pour les peuples angoissés de lancer des passerelles
    afin d’assurer des raccourcis et ne pas descendre tout en bas ?
    Les dynastOgres et leurs furtifs seides des banques ventrales sont-ils entièrement prévisibles ?

    5%-inconscients  10%-SimplementSurLeursRails   25% Charlatans  

    50%-Certitude_delHyperpuissance_dAvoirTouteLatitude (sans aucun Devoir ni Aucun traité inter-nations à respecter) ?
    Est-ce cela — 5%+10%+25%+50% — la composition de leur StatuQuo Partagé et de leurs Faux-Semblants ?
    Le 29 octobre, je l’avais évoqué en une ligne sur le blog.

    Depuis la dernière semaine d’octobre, il m’apparait possible de faire entrer en scène
    simultanément des stratégies qui, à première vue, semblent contradictoires.
    En réalité, ça les renforce l’une et l’autre; ça les crédibilise l’une et l’autre :
    les deux voies sont possibles et elles se complètent.
    Les petites et moyennes banques affaiblies verront une planche de salut immédiate par l’une de mes stratégies en parallèle

    Que les banques soient équarries ou qu’elles ne le soient pas
    il est possible d’avancer, avec des bascules partiellles, sans discontinuité

  38. Bâtir puis CasserEnPartie-et-rebâtir-etc voilà des années que je fais cela, en solo avec moi-même
    Parmi les dizaines de douzaines de structures de contenus,
    des lettres A-à-Z de repérage, notamment K et M-N
    K : pour « Knowledge et Know-How » (structurés; plusieurs douzaines de websites)
    M : pour « Modélisations en Espace-Temps » (prospective et plans-programmes possibles sur les territoires)
    N : pour « Networks (neufs) Parallèles aux existants

    Je vous fais grâce des dizaines de websites rapportés aux caractères qui précèdent (0-9 et A-J) et caractères qui suivent (O-à-X)
    Allez, tout de même quelques repères que vous identifiez plus ou moins :
    A : Adret, c.a.d. websites de l’Adret
    (…)
    g°: GeoDegrés, dont « Sources & Emplois de Fonds » (2067-2047 ~~ 2047-2017 ~~ 2012-2017 )
          G192, G20, Régions ducales et réels espaces glocaux où rendre possible l’appartenance à des groupes

    humains ayant un sens.
    (…)
    k€$^Y£
    kc_opaq, kdev, kg°, klx, ks_breco, kv8
    loi (ici, règles en vigueur)
    (…)
    regal (les parlementaires des « partis de gouvernement » (PsMdmUmpEtc) sont en UBAC, ci-après)
    statuquo ( Ah !       là ! … alala_~~~_là … ya du monde )
    ubac
    (…)
    Cette première série de contenus hétérogènes est dite « Expo_QT » … c.a.d. Des Quartiers
    Elle est dans la Représentation des Concepts innovants et du Réel Existant : Articulations, Noeuds, Dynamiques, Arborescences d’obets

    avec leurs nomenclatures, Définitions, Commentaires, Spécifications, etc.
    Cette première série de websites, « QT », est nullement dans l’Action. On peut dire qu’elle est dans l’aire de « La Pensée ».

    Une seconde série de websites est dite « ExpoPrj@… » … c.a.d. « Expo Propositions de Programmes-Projets en (…espace

    geo ou réseau de villes ..)

    La vocation « Action » de cette seconde série est Maitrise d’Ouvrage, Ingénierie générale, Délégation (…) »
    Voilà plus de 10 ans que je travaille en vase clos — sur mes ordinateurs successifs —
    Je n’avais pas pensé à une telle inaction du G20.
    Je n’avais pas pensé à devoir passer à « Equarissage des banques » de cette manière et devoir moi-même écrire
            « Ingénierie Générale de l’équarrissage des Banques« . J’ai commencé hier.
    Je n’avais pas pensé à devoir préconiser le SMG, Système Monétaire Glocal si tôt et de cette manière
            Il faut que je m’adresse de façon linéaire, structurée et claire à un public large
            Le format livre, avec ses notes progressives en bas de page, est la garantie de cette linéarité.
            Ici, le travail qui me reste m’apparait moins important en hommes-jours.
            En effet, il s’agit essentiellement de trier, simplifier, condenser, rendre agréable, placer dans le meilleur

    ordre possible
    L’accord d’un éditeur devrait être rapide à obtenir.
    Au passage, je vois depuis 2 jours, l’opportunité de ne pas faire de l’entier bénévolat jusqu’à mon dernier souffle.
    Je ne dois pas non plus oublier qu’il manque plus de dix ans à ma retraite.

    Dès le début de l’Armada Télématique que je vais finir par faire émerger prochainement,
    je fais le distingo
    entre
    d’une part, le financement des « projets sociétaux concrets » (en aval des concepts)
    c’est-à-dire faisant l’objet d’une maîtrise d’ouvrage, de maîtrises d’oeuvre hiérarchisées (projets G20, G192,…)
    et de contrats de design, réalisation, formation+mise-en-route, exploitation opérationnelle
    avec ou sans ma contribution
    et
    d’autre part, l’autofinancement de mes contenus d’auteur, notamment les années-hommes déjà consacrées à ce travail

    personnel.
    Je vais bien arriver à trouver une façon de prélever un % — j’espère minime — sur ce qui précède (les « projets sociétaux concrets ») pour

    constituer un micro-fond d’épargne me permettant de racheter les années de retraite qui me manquent.

    Ce serait mérité si mon prochain rôle de coordinateur permet d’aboutir à l’une des finalités recherchées :

    un réseau bancaire où les paris sur les monnaies seront sans objet.

    Il y a une semaine je pensais qu’il fallait que tout s’effondre.
    Cela m’apparaissait comme le chemin le plus sûr
    pour qu’on soit obligé de construire sur des bases viables.
    Est-il moins « dommageable » pour les peuples angoissés de lancer des passerelles
    afin d’assurer des raccourcis et ne pas descendre tout en bas ?
    Les dynastOgres et leurs furtifs seides des banques ventrales sont-ils entièrement prévisibles ?

    5%-inconscients  10%-SimplementSurLeursRails   25% Charlatans  

    50%-Certitude_delHyperpuissance_dAvoirTouteLatitude (sans aucun Devoir ni Aucun traité inter-nations à respecter) ?
    Est-ce cela — 5%+10%+25%+50% — la composition de leur StatuQuo Partagé et de leurs Faux-Semblants ?
    Le 29 octobre, je l’avais évoqué en une ligne sur le blog.

    Depuis la dernière semaine d’octobre, il m’apparait possible de faire entrer en scène
    simultanément des stratégies qui, à première vue, semblent contradictoires.
    En réalité, ça les renforce l’une et l’autre; ça les crédibilise l’une et l’autre :
    les deux voies sont possibles et elles se complètent.
    Les petites et moyennes banques affaiblies verront une planche de salut immédiate par l’une de mes stratégies en parallèle

    Que les banques soient équarries ou qu’elles ne le soient pas
    il est possible d’avancer, avec des bascules partiellles, sans discontinuité

  39. à antoineY |13:58]
    Oui, il est temps.
    Au nom des talents du cirque — Auguste, LeClownBlanc, NuageBlanc et tutti_frutti —
    je vous réponds : « Oui, il est temps ».
    Le cirque en a bien conscience.
    Parmi les dernières difficultés, citons celles-ci

    [1] « Tapoter » des extraits de webpages existantes (offline Jeru-F) pour aboutir à deux exposés linéaires clairs,
        Deux tomes 24×24 cm : [1] Concepts majeurs & Dimensions – [2] Ingénieries prioritaires & Forces + Ordres
        Ce ne sont pas les titres; cela vous donne l’esprit général

    [2] « Etre en ordre de marche » quant à la diffusion des websites,
        Avec le livre 2, les « abonnés-engagés » recevront un CD interactif corrélé à des territoires de websites non accessibles

    autrement.

    Eh oui ! … en ingénierie il faut bien un peu savoir à qui l’on s’adresse.
    Les coordinateurs et prochains « leaders de collèges » ne peuvent mener une action avec des avatars ou
    des titulaires d’adresses email à une adresse physique inconnue (en sus adresses email pouvant être éventuellement bidons c.a.d. « pipo »

    ).
    Lorsque vous souscrivez un abonnement à un magazine l’éditeur sait où vous, l’abonné(e), résidez.
    Pendant des lustres — après que je sois né (1947) — cela n’a jamais soucié personne.

  40. Seriez-vous songeur aux propos du ClownBlanc ?
    Je vous vois songeur.
    Vous vous interrogez …
    … « n’est-il pas vraiment hors de la mesure ? hors de ce qui semble pouvoir être entrepris

    Face à ce qu’il noux explique des créanciers de la BRI
    qui contrôlent les banques centrales et les topMegaBanques,
    … se rend t-il compte de ce qu’il écrit ? …
                    passer du franc à l’euro ne fut pas une mince affaire !
                    tous les soldes des comptes bancaires changèrent de devise !

    et … et ! … les megaBanques et banques centrales étaient d’accord ! €, €€ et tuttti quanti.

    Q1:
    Quel % des français s’intéressent vraiment aux mécanismes de la crise ? 1pour dix-mille ? … pour mille ?

    Q2:
    Sur ce pourcentage quel autre pourcentage, sans armada de préjugés comprend les opaqVoiles et les dynamiques de

    flux ?
          1pour dix-mille ? … pour mille ?

    Q3:
    Sur ce pourcentage, quelle part pense qu’un véritable changement positif est possible ?
    Dans l’immédiat en début novembre 2009 ? … moins de 0.001? … combien ?     5 personnes ?   dix ?

    Comme Auguste, je quitte rarement LeClownBlanc,
    même entre le 15 aout et 15 septembre quand il s’est coltiné avec des Tableaux ( S&E_Fonds)
    qui n’ont rien à voir avec les miens, le plus souvent d’abord à la térébenthine … pas d’acrylique,
    la couleur recherchée et obtenue sèche beaucoup trop vite, avant que l’on ait fini de l’exploiter en différentes places choisies.
    Le blanc, vous le savez, intègre toutes les couleurs du spectre.

    LeClownBlanc anticipe fort bien l’incrédulité de 99.999999% des internautes du présent blog,
        habitué(e)s comme nouveaux venus.
    Aussi longtemps qu’un exposé, parfaitement charpenté, spécifié, détaillé
                    ne sera pas sur la table,
    il n’y aura pas dix congénères à porter intérêt à l’intro de Monsieur Loyal, LeucoCircus

    1. Je serai un peu moins pessimiste que vous sur les nombres.

      Q1 : 10%. Et surtout si, comme à l’instant, leur emploi est menacé, leur CA baisse, etc…

      Q2 : sans avoir de connaissances pointues, on comprend très vite que les imbrications et les dessous de tapis font que tout document émis par une banque n’a plus de valeur. Tant du point de vue valeur pure qu’informationnel.
      Mais, même si les chiffres n’apparaissent pas, les difficultés de tous les secteurs sans exception sont connues.

      Q3 : si l’on regarde un peu l’histoire, on voit que les changements « positifs » n’ont toujours été faits que sous la contrainte.. et donc, la douleur.
      Maintenant, déterminer ce qui est positif de ce qui ne l’est pas….

      Bien à vous.

  41. Ce plan d’ingénierie générale — avec toutes dispositions de mise en oeuvre — est d’autant plus nécessaire
    qu’il est totalement à contre-courant de la bien-pensance et
    de ce qui peut se penser à partir de l’existant.

    Ce Plan ne fait aucun cadeau aux banques centrales et aux megabanques titanesques universelles.
    Ce n’est pas un projet à se faire des copains auprès des ultra-dominants qui contrôlent 99.99% des leviers et des décisions.
    Ensuite, ce qui n’arrange rien :
    Comme solution imprévisible, déroutante, innovante et décoiffante on peut difficilement
    … faire mieux … ou pire …                 mieux ou pire, cela dépend de quel

    point de vue on se place.

    Une seule issue : se faire comprendre du grand nombre
    Autrement dit, le plus difficile … quasiment l’impossible.

    A ce stade je ne suis pas suffisamment avancé dans mes itinéraires plaisants pour me faire comprendre du grand nombre.

    Sur le fond tout est prêt, mais le temps d’exécution est considérable, pour plusieurs raisons.
    Je vais en citer une, faute de place :
    ce Plan qui impacte la 5e dimension de ma « Représentation du Réel en Chantier » est lié à d’autres horizons innovants
    dont des plans à curseurs, l’un d’eux est 2060-2030 ou bien 2012-17
    Mon objectif est que les charlatans qui manoeuvrent les « partis de gouvernement » (Ps, Mdm, Ump)
    aient du mal globalement à réunir 10% des voix aux prochaines élections législatives.

    Pour cela, deux conditions

    1/ la sensiblité au désastre financier, copieusement camouflé, doit atteindre
               (a) les métiers protégés (plus de 50% de la population active dont Education d’Etat,

    Santé d’Etat,
                Police, Armées, DGI, Trésor<0, Collectivités Régaliennes Territoriales, etc.

    ),
               (b) les indifférents (boulangers, bouchers, pharmaciens, dentistes, etc.),
               (c) …

    2/ la composition de l’ensemble « sortie de crise » à préconiser ne doit pas être restreinte à ce qui suit :
                (a) la dette de plus de 1300 milliards,
                (b) le pouvoir d’achat ( par combien va t-il être divisé ? premier décile ? … dernier décile ? )

                (c) aux 8 millions d’emplois manquants en France

    Revenons à cette question précise du SMG, Système Monétaire Glocal
    en substitution à l’aveuglément et à la rapacité des créanciers des banques ventrales —
                — ces derniers NULLEMENT dépassés par la globalisation —
    simplement toujours ultra-décidés à conserver leur Contrôle Total depuis 1930 (Traité de Bâle).

    Décrire précisément les étapes de mise en place du SMG sera plus convaincant qu’un discours théorique
    Je vais vraisemblablement « disparaitre » à nouveau un moment (sauf imprévu) pour me consacrer à l’écriture de l’exposé
    (livre ) « Mise en place opérationnelle du SMG, Système Monétaire Glocal »
    Ses articulations et géométries très spéciales sont singulières.
    Plusieurs structures très spéciales, non encore évoquées, sont des
    fondations majeures d’autres plans qui renforcent les premiers.

    Sans être le moins du monde perfectionnistes, les membres LeucoCircus préfèrent agir en ayant le maximum d’atouts sur leurs

    flancs.
    Il me parait sage d’avancer après avoir écrit noir-sur-blanc la démarche pratique pour arriver au bout, concrètement, calendrier en

    main.
    Les artistes donnèrent leur opinion au comité directeur du cirque, parfois coordonné par Arkenciel,
    Il n’est pas prévu de convertir tous les soldes en euros, mais seulement certains et à certaines conditions
    ah pour sûr il y aura des mécontents; si vous m’avez lu au 1er trimestre sur d’autres websites vous pourriez en deviner les raisons.

    cela a été dit antérieurement : A ce stade, un billet est inenvisageable; ça viendra;
    merci pour votre soutien; merci d’être patient.
    Je sais que je n’avance pas assez vite; je fais ce que je peux.
          [ A court terme j’ai ce besoin de trois caractères pour mes 3 monnaies,
          un peu comme ces caractères spéciaux que sont $ € £ qui sont sur le clavier d’ordinateur.
          Il faut qu’ils soient codables en HTML …. parmi l’alphabet grec α ω ou ISO_Latin1 (256

    caractères)

    Le moment venu, il me faudra tout mon attirail — le moins mal ciblé par type d’internaute
            ( pékin lambda, ChiefEconomist de banque, expert en ceci ou cela, etc. ) —
    c’est-à-dire
    dessins, nomenclatures, définitions, articles, protocoles, calendriers, plans,
    propositions de répartition des missions, propositions de dynamiques pour les dodeJurys, etc.

    Merci de votre attention,
    Je suis naturellement ouvert à vos éventuelles questions.

    1. Cela fait un moment que je ne vous avais pas lu, mais là il va falloir se remettre dans votre mode de pensée cher clown (perdu l’habitude, s’cusez).
      N’empèche vous m’intriguer fortement……….

    1. Hhmm.. Viande Hachée.

      J’appelle cela un discours de « grand écart »…

      D’un coté, on veut nationaliser ou supprimer la Fed, (à priori donc se séparer du pouvoir de l’argent).
      De l’autre, éviter absolument de payer des impôts.

      Je n’y connais pas grand chose en politique, mais… existe-t’il des théories viables d’anarchie d’extrême droite..???
      Sauf qu’il me semble que l’anarchie est plutôt d’extrême gauche, mais bon….

      Je vais encore me faire une hernie au cerveau, à ce tarif.

  42. Bonsoir,
    Il y a quelques jours, sur ARTE j’ai suivi une émission dans laquelle étaient invités deux traders : un français et un allemand.
    Ils évoquaient la piste de l’annulation de la dette pour sortir de la crise.
    J’ai bien du mal à concevoir une annulation généralisée. Annulation de la dette des états, des entreprises, des particuliers ? Les créanciers seraient ruinés.
    A votre avis, quelle pourrait en être la forme et surtout ses conséquences ?

  43. A jeanpaulmichel
    C’était le 28 octobre l’émission sur Arte « les banquiers sont-ils des voleurs? » Tout à la fin l’un des intervenants a effectivement parlé de l’annulation de la dette qui serait à l’étude.
    Quelle dette? Ou Quelles dettes?
    Qui étudierait cette solution?
    Les états?

    1. J’ai vu aussi cette émission, mais contrairement à vous je ne prends pas leur réponse au sérieux.
      Souvenez vous leur tête et façon de dire celà.
      Pour moi ils ont dit ça  »pour faire plaisir » ; du coup ils n’avaient plus à dire ce qu’il va devoir se passer sinon.

  44. A « Le cirque en folie »
    Il se passe quelque chose d’étrange : je comprends ce que vous écrivez!

    1. drôle d’époque..non les banquiers ne sont pas des voleurs…ce sont les hommes politiques qui font les lois et les font exécuter…et rappelons nous que le système bancaire avec le domaine médical sont les deux secteurs de la vie économique et social les plus contrôlés par le législateur…alors ou est le problème ?

  45. @ François,
    Un de mes amis m’a signalé une erreur sur mon post du 3 11 à 12h08 ci-dessus. Dans la première partie, il faut lire « les anglais qui n’ont pas adhéré à la monnaie unique, ne sont pas tombés dans ce piège » au lieu de « les anglais qui n’ont pas adhéré au traité de Maastricht.. »
    En vous demandant d’excuser cette erreur.
    Bien à vous
    jean

  46. de DAN DENNING dans La Chronique Agora (adaptation).

    L’un des résultats des taux bas de la Fed, c’est que les banques américaines se sont approvisionnées en bons du Trésor américain pour stabiliser leurs bilans. Rappel :

    .Les banques commerciales des EU ont depuis 2007/2008 des bilans déséquilibrés par d’importantes proportions d’actifs à risque. Soit un risque élevé de faillites en chaîne.
    . Ces banques « mettent en pension » tout ou partie de ces actifs à risques auprès de la FED. En échange, la FED leur accorde des prêts.
    . Les banques utilisent ces prêts pour souscrire à des emprunts d’Etat émis par le Trésor des EU (« bons du Trésor).

    Il y a donc un transfert des actifs douteux (créances privées) vers la FED, remplacés en quelque sorte par des Treasuries bond (reconnaissance de dettes gagées sur l’économie étasunienne, en fait les contribuables de ce pays).

    Acheter des bons du Trésor et des titres adossés à des créances hypothécaires, avec des réserves nouvellement créées (assouplissement quantitatif) et qui peuvent toujours être étendues, n’est qu’une formalité. Cela risque de mettre de nouveau les banques en danger, si la valeur de ces bons était réduite de façon radicale par les forces du marché. On risquerait alors un autre effondrement des nantissements bancaires qui pourrait, s’il était très important, entraîner un effondrement de la valeur. L’insolvabilité redeviendrait un problème.

    Une nouvelle réglementation a été décidée par la Financial Services Authority britannique [équivalent de l’AMF française] afin de mettre en place de nouvelles règles de trésorerie pour les actifs des banques. La FSA peut désormais exiger des banques qu’elles détiennent un certain pourcentage d’actifs pouvant être rapidement liquidés pour lever des fonds si besoin est. Des actifs dont la qualité de crédit est basse (des junk bonds ou des obligations d’entreprises moins bien notées) pourraient ne pas faire l’affaire.

    Les seuls actifs qui peuvent correspondre aux nouveaux critères de la FSA sont les obligations souveraines. Cela rend peut-être les actifs bancaires plus faciles à liquider. Mais détenir plus d’obligations gouvernementales ne rend pas les actifs des banques plus sûrs, ou n’améliore pas la position du capital dans le secteur financier.

    En réalité, ces nouvelles exigences fournissent surtout au gouvernement un moyen de forcer les banques à souscrire à de nouvelles émissions obligataires. Plutôt que d’avoir à trouver des créditeurs parmi les nations émergentes qui ont un bon niveau d’épargne (Chine, Russie, Europe de l’ouest, etc…), les gouvernements des Etats-Unis et du Royaume-Uni auront un marché captif dans leur propre secteur financier. Les banques se gaveraient ainsi progressivement d’obligations souveraines — à condition que les agences Moody’s, Fitch ou S&P n’aient pas baissé le degré de solvabilité des Etats-Unis et du Royaume-Uni.

    Cela ressemble bien à un nouveau pas vers la nationalisation du secteur financier. Echanger des obligations gouvernementales contre de l’argent nouvellement imprimé par la Fed était une opération quasiment sans risque qui a permis de soutenir les bénéfices des banques pour le premier semestre. C’est donc une bonne opération. Mais sur une perspective plus large cela signifie que la crise financière pourrait bientôt devenir une crise de la dette gouvernementale. Jusqu’à maintenant, les pertes des entreprises financières ont été transférées au secteur public. Cela n’a pas résolu le problème. Cela l’a simplement déplacé sur une scène plus grande.

    D’après Dan Denning.

    1. « L’insolvabilité redeviendrait un problème »
      C’est le moins que l’on puisse dire.

      « Cela ressemble bien à un nouveau pas vers la nationalisation du secteur financier »
      Et comme il est noté, plutôt que d’avoir un secteur bancaire appartenant à des pays étrangers…
      Dans le cas du Royaume-Uni, la masse monétaire faible l’oblige à des mesures d’urgence radicales.

      « la crise financière pourrait bientôt devenir une crise de la dette gouvernementale »
      Elle le devient très vite. Le processus avance et est prouvé par des modifications, cette fois, de géo-politique mondiale.

  47. News from the economic war :

    http://contreinfo.info/breve.php3?id_breve=7853
    « Le Trésor US a rencontré 8 blogueurs de l’économie et la finance (Yves Smith) »

    Voilà qu’ils vont écouter la voix du peuple…
    Quelle déchéance.

    (je blague, Mrs Leclerc et Jorion. Mais quelque part… si l’on ouvre un peu son esprit en se disant qu’un blogueur n’a pas du succès tout à fait PAR HASARD…)

  48. À lire:

    Pourquoi la SEC a laissé Madoff dériver

    Le « gendarme » de la bourse américaine, la SEC, a rendu public un rapport destiné à expliquer pourquoi elle n’est pas parvenue à détecter la fraude montée par l’escroc Bernard Madoff. Une lecture cruelle… pour la SEC elle-même.

    http://www.bakchich.info/Pourquoi-la-SEC-a-laisse-Madoff,09158.html

    Un Nobel d’économie … à l’économie

    Cette année, la Banque de Suède a joué son rôle à plein : s’inscrivant dans le politiquement correct ambiant, elle a jugé bon de choisir une femme, Elinor Ostrom.

    http://www.bakchich.info/Un-Nobel-d-economie-a-l-economie,09115.html

  49. Question à M. Leclerc

    Parmi les (ou la ) solutions d’effacement de la dette, il y a donc cette augmentation de la masse monétaire qui induit une hyperinflation.

    La masse monétaire est-elle précisément et objectivement quantifiable?

    Mais les « émergents » dont la Chine Pop tentent de se protéger de ce à quoi tend cette dépréciation du dollar US par divers procédés dont achats tous azimuths d’accès aux matières premières, et constitution d’une réserve en or. Cela peut-il limiter le vol de l’épargne des Chinois?

    Merci encore une fois de votre lumière
    Astarte

    1. Les différents agrégats monétaires (ou masses monétaires) font l’objet de mesures par les banques centrales. Pour la BCE : http://www.ecb.int/stats/money/aggregates/aggr/html/index.en.html

      Les réserves monétaires chinoises proviennent des résultats des exportations. Afin de se prémunir contre une faiblesse destinée à s’accentuer du dollar, les Chinois n’ont pas d’autre solution que de diversifier l’utilisation de leurs excédents (tout en ne précipitant pas la baisse par une diminution inconsidérée de leurs achats de bons du Trésor US). L’or et les métaux rares, ou les matières premières, sont parmi les possibilités. Investir dans des entreprises ou dans des terres agricoles via des fonds souverains en est une autre. D’une manière générale, tout avoir non monétaire peut être considéré comme moins susceptible de se dévaloriser que les bons du Trésor US libellés en dollar. (Le Trésor pourrait libeller des bons dans une autre devise, il l’a déjà fait, mais cela risquerait de lui coûter fort cher).

  50. Un peu HS, mais intéressant
    James K. Galbraith au Bill Moyers’ journal

    Traduction rapide de quelques extraits:

    JG: Les gens sont coincés dans leurs hypothèques. Leurs hypothèques valent plus que les maisons qu’ils habitent ce qui ne veut pas dire qu’ils vont faire défaut ou des millions seront exclus, mais des millions ne peuvent tout simplement pas vendre, ne peuvent pas bouger, ne peut pas changer leurs conditions, ne dispose pas d’un coussin. Et c’est un facteur qui amènera le stress dans leur vie au fil du temps.

    JG (En comparant avec la Grande Dépression de 1929): Ma mère qui a vécu jusqu’à l’année dernière, n’a jamais vraiment surmonté les attitudes qui lui ont été inculquées durant la Grande Dépression. Il aura un – si quelque chose n’est pas fait pour fournir notamment les jeunes, qui cherchent à travailler et ne peut pas le trouver, avec la possibilité d’avancer dans la vie, à ce stade, il les marquera pour le reste de leur vie. Je pense qu’il y a aucun doute à ce sujet.

    BM: The New York Times avait une histoire l’autre jour sur les collèges communautaires qui sont tellement bondés dès à présent que s’y tiennent les classes jusqu’à deux heures du matin. Qu’en pensez-vous? Ca indique quoi?

    JG: Ca indique tout d’abord, que les gens ne peuvent pas trouver d’emploi. Et deuxièmement, qu’ils se tournent vers le système éducatif afin de leur offrir quelque chose à faire, et un moyen de sortir de ce dilemme. Mais jusqu’à ce que des emplois soient créés, et en grand nombre, il n’y aura pas de lieux pour ces personnes pour sortir du réseau des collèges communautaires et de trouver un travail utile. C’est ça le problème.

    JB : Et un point sur la crise, c’est qu’elle aurait pu être évitée. Les autorités, il y a deux, trois, cinq ans, aurait pu l’empêcher. Ils ont choisi de ne pas agir, parce qu’ils commençaient à tirer un bénéfice politique et économique de l’explosion spéculative qui se passait.

    BM: Vous voulez dire, les gens qui auraient pu empêcher la rupture du barrage qui étaient trop occupés à la pêche au-dessus, et la récolte de grosses récompenses de vouloir réparer les failles?

    JB: Bien sûr. La Réserve fédérale américaine, en particulier, savait que le barrage se fissurait. Alan Greenspan, je pense, presque sûrement le savait, et il a choisi d’attendre jusqu’à ce qu’elle avait emportées.

    BM: Pourquoi?

    JB: Ils l’ont tous permis, car ils en obtenaient une économie superficiellement plus forte. La société de propriété, tout ce qui était une escroquerie, au fond, vise à appâter des gens qui ne pourraient se permettre ces prêts hypothécaires en les acceptant. Et oui, je crois qu’ils, toute personne rationnelle, certes gens de l’industrie, savaient que cela n’allait pas durer. Il y avait un petit code dans l’industrie, que j’ai appris, IBGYBG. « I’ll be gone. You’ll Be Gone » (Je serai parti, tu sera parti)

    BM: Vraiment?

    JB: Oui.

    BM: L’industrie étant le secteur des obligations?

    JB: Bien, et les initiateurs de prêts hypothécaires et les banquiers en général.

    BM: Mais c’est la fraude criminelle.

    JB: Bien sûr.

  51. Le protectionnisme, sous toutes ses formes, passe aussi par une opacité de ses informations :
    http://contreinfo.info/breve.php3?id_breve=7854
    « La Chine cesse de publier les statistiques sur ses stocks de pétrole (FT Alphaville) »

    En plus de leur sur-production énormes de métaux et de béton, ils semblent sur le chemin du « si vis pacem, para bellum ».

    1. Oui Yvan, il y a un sous-entendu stratégique.
      Renforcement des accords sino-russes sur la fourniture de gaz.
      La présence Otan-US en Afghanistan est balancée par la puissance militaire russe alliée au poids eco-industriel de la Chine…
      BHO sera sans-doute contraint de renforcer le contingent US à regret…il devra renoncer à la maitrise des ressources énergétiques en Eurasie.

  52. Etats-Unis : baisse inférieure aux attentes des suppressions d’emplois en octobre.

    dixit : Aux Etats-Unis, les entreprises ont supprimé 203 000 emplois au mois d’octobre, selon l’enquête mensuelle d’ADP.
    Les économistes attendaient en moyenne 190 000 suppressions.

    Faux la baisse est donc supérieure et c’est toujours une baisse sans compter les chiffres qui sont trafiqués comme le PIB…et ce chiffre ne tient pas compte des emplois du public….toujours plus de chomeurs et toujours plus de chomeurs en fin de droit..comment une reprise peut elle avoir lieu dans cette situation?
    Réponse elle est factice….

    L’or approche les 1.100 dollars

  53. Vendredi 30 octobre 2009 :

    1- Le revenu disponible réel des ménages américains a baissé en septembre pour le quatrième mois d’affilée.

    2- La consommation des ménages américains a baissé de 0,5 % en septembre. La consommation des ménages, ajustée de l’inflation, a baissé de 0,6 % en septembre.

    3- « USA : malgré la reprise, l’économie reste encore très dépendante de l’Etat. Les chiffres publiés vendredi 30 octobre par le Département au Commerce montrent que le revenu disponible réel des ménages a baissé en septembre pour le quatrième mois d’affilée, et que les Américains préfèrent épargner plutôt que dépenser, accréditant le pronostic des analystes selon lequel la consommation, qui a apporté 2,36 points de croissance au troisième trimestre, risque de replonger sur la fin de l’année. »

    http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hihcSjIVCwhL5pylaj04hUjt6q-w

    4- « Les autorités américaines ont fermé vendredi 30 octobre neuf banques, un record pour une seule journée depuis le début de la crise financière. Cette opération porte à 115 le nombre de banques mises en faillite depuis le 1er janvier 2009, soit le plus haut niveau annuel depuis 1992. Les analystes s’attendent à ce que d’autres surviennent encore d’ici la fin de l’année. »

    http://fr.reuters.com/article/businessNews/idFRPAE59U00G20091031

    Dimanche 1er novembre :

    « Le spécialiste américain du crédit aux petites et moyennes entreprises CIT a lancé dimanche une procédure de dépôt de bilan, incapable de se refinancer après la crise financière internationale.

    Ce groupe centenaire compte environ un million de clients aux Etats-Unis et sa mise en faillite, si elle était attendue depuis des mois et ne devrait avoir qu’un impact limité sur les marchés, risque d’aggraver la contraction du crédit et de peser sur l’économie réelle.

    Le groupe CIT avait 71 milliards de dollars d’actifs.

    Il s’agit ainsi de la quatrième plus grosse faillite de l’histoire américaine après celle de Lehman Brothers l’année dernière (639 milliards d’actifs), World Com en 2002 (104 milliards) et General Motors (91 milliards). »

    http://www.lesechos.fr/pme/conjoncture/reuters_00197442-cit-depose-le-bilan.htm

    Mercredi 4 novembre :

    – Indice ISM d’activité dans les services : recul surprise de l’activité en octobre dans les services aux Etats-Unis, avec un score de 50,6 (contre 50,9 en septembre) au lieu des 51,5 espérés.

    – L’enquête d’ADP a annoncé une suppression de 203.000 emplois en octobre (au lieu de 190.000 anticipé par les économistes)

    « Les Etats-Unis sont sortis de la récession pendant l’été, mais deux indicateurs publiés mercredi 4 novembre, l’enquête du cabinet ADP sur l’emploi dans le secteur privé et l’indice ISM d’activité dans les services, sont venus rappeler à quel point il y a loin de cette reprise à un rétablissement complet de l’économie.

    A deux jours de la publication du rapport officiel sur l’emploi en octobre qui devrait faire apparaître une montée du taux de chômage à 9,9 %, un nouveau point haut depuis plus de 26 ans, ces deux études ont témoigné de licenciements encore très forts dans les services et dans les PME, deux forces vitales pour le pays. »

    http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=6a2aba3e17a26ec362ee65e418f52eea

    Conclusion : la Fed dresse un constat d’échec de la politique menée depuis septembre 2008.

    Aux Etats-Unis, depuis septembre 2008, l’Etat a soutenu la consommation des ménages, le crédit, l’immobilier, etc. en dépensant des centaines de milliards de dollars. Or, malgré ces centaines de milliards de dollars d’argent public injectés, la consommation des ménages, le crédit, l’immobilier sont toujours en baisse.

    « A l’issue de deux jours de réunion à Washington, le Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) a indiqué que la première économie mondiale « continuait de se redresser, mais pas au point de lui permettre de changer sa politique de taux quasi-zéro en vigueur depuis la mi-décembre 2008, ni de modifier radicalement ses mesures de soutien au crédit et à l’immobilier, qui mobilisent des centaines de milliards de dollars. »

    http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=6a2aba3e17a26ec362ee65e418f52eea

  54. Dans « La Fed décidée à conforter la reprise »

    « Plus attentive que jamais à la santé du secteur financier toujours très fragile, la Réserve fédérale redoute l’effet des défauts de crédits commerciaux sur les bilans bancaires, alors que la banque CIT, spécialisée dans les prêts aux PME, vient de faire faillite. »

    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2009/11/04/04016-20091104ARTFIG00720-la-fed-decidee-a-conforter-la-reprise-.php#xtor=AL-5

  55. Il est généralement facile d’être prescient lorsque l’on a aucune solution a proposer.

    Au sujet du problème posé par la dette, j’ai l’impression qu’il y a deux cas de figures: les pays comme la France et l’Italie ou l’épargne privée est égale et supérieure a la dette publique ce qui fait que la dette nette est nulle (juste un jeu de taquin entre classes sociales et démographiques) et les pays ou la dette nette est due a l’étranger.

    Dans le cas des pays « Anglo-Saxon » encore maitre de l’impression de la monnaie, l’ajustement passera par le taux de change, je présume, et la compétitivité a l’exportation (?), dans le cas des pays de la zone Euro (Espagne, Irlande) cela passera par la misère sociale dans la durée. Mais après tout, la richesse crée n’était qu’une illusion, minuit a sonné et le carrosse redevient citrouille. Çà a été bon tant que cela a duré et c’est mieux que rien.

    De toute façon le phénomène de désendettement sera long et le réajustement très long.

  56. Tout semble confirmer que le gouvernement américain est condanné à soutenir le consommateur de base.
    Et la prime pour l’achat de voitures va, en principe, s’arrêter.

    Que vont-ils bien pouvoir trouver à subventionner maintenant?
    L’achat d’une télé..??? (made in China 🙂 )

  57. Dans le prolongement d’Auguste le 3 nov à 12:16
    à Espagnoux qui commenta le soir à 22:33
    renvoi plus haut : 3 nov 22:33
    Merci pour Sofaris. Pas d’autres « preneurs de risques », pour partie sur le dos des contribuables
    en lieu et place des banques commerciales ? Je serais surpris.

    les banques font leur boulot, ce sont des entreprises et elles doivent gagner de l’argent ; faites la distinction entre les banques de financement et d’investissement et les banques de détail, banque de proximité..un TBB à zero (…) trève de plaisanterie les banques sont un outil au service de la volonté politique…le couteau n’est pas mortel, il est neutre, c’est celui qui le manipule qui peut être dangereux

    Q1: Je ne comprends pas votre « Faites la distinction … »
        Justement je fais la distinction
    Que voulez-vous dire ? Qu’il ne faut pas faire la distinction ?

    Q2: Quelle serait, pour vous, personnellement, la menace ?

    Q3: Serait-ce insuffisamment « noble » d’être « seulement dans une banque de détail qui ne jouerait pas sur les eurodevises » ?

    Q4: Serait-ce insuffisamment « noble » d’être « seulement dans une banque MoneyMarkets jouant à fond sur des positions à la seconde dans les eurodevises et absente de la réflexion sur les crédits Economie Réelle à long et moyen terme

    Q5: Est-ce plus « gratifiant » d’être palefrenier chez un duc ayant fait allégeance à la Furtive Cour Impériale des créanciers de Bâle et 33 LibertyStreet NY ?

    Q6: Est-ce que votre métier, par exemple de contrôleur de gestion transversal — de DRH ou autre budget de frais généraux, vous conduit « par chance » à répartir vos journées sur chacun de ces métiers ?

    Q7: Quelle est vaguement votre situation fonctionnelle dans votre organisation structurée ?

    Q8: La volonté politique des ¤¤¤¤¤ personnes qui viennent de doubler la masse monétaire,
    c.a.d. potentiellement de diviser par plus de deux le pouvoir d’achat des « NonBankassur » pour des années
    comment les décrivez-vous ces hommes ? … si possible sans oublier les adjectifs. Merci

    Q9: Quelles sont précisément vos objections, positions, etc. sur les préconisations LeucoCircus ?

    1. « Qu’ont-ils vu, tous, qui aurait rendu un adulte fou ?
      Quelle chose innommable ? Obscurs souvenirs… Pour les uns, momie aux yeux de goudron frais, pour d’autres, oiseau-roc monstrueux, lépreux au nez amputé, loup-garou, vampire à la bouche hérissée de lames de rasoir…
      Tous avatars de Grippe-Sou, le Clown ! ÇA !
      L’ennemi aux cent visages… » Stephen King, ÇA 😉

    2. Notre table d’hôtes, aérée et ensoleillée est à l’ADRET
      au cas où vous arriveriez à faire le tour des obstacles et opaqVoiles vous pourriez être à l’UBAC

      A l’UBAC :
      la table richement nappée cotoie le BigAnanas trampouillant dans les noirs miasmes du caniveau
      le marais où l’anesthésie des sangsues n’écarte pas même la nausée
      CA, le biClown difforme est siamois « BenBernanke-JamieDimon »

      Images BenBernanke urbandigs.com
      Portrait : effet Ubac
      you buy
      Source : http://www.jrdeputyaccountant.com/2009_04_01_archive.html

      Images Jamie Dimon contestation bailout de 700 milliards de $ (majikthise.typepad.com sept25, 2008)
      au centre de passage
      avec Buffet et Paulson
      le contexte : Conference On Issues Affecting U.S. Capital Markets Competitiveness
      WASHINGTON – MARCH 13: Surrounded by religious iconography in Healy Hall, (L-R)
      Treasury Secretary Henry Paulson; Warren Buffett, chairman and CEO, Berkshire Hathaway Inc.;
      Jeffrey R. Immelt, Chairman and CEO, General Electric Company;
      Charles Schwab, chairman, and CEO, Charles Schwab Corporation;
      James Dimon, chairman and CEO, JPMorgan Chase and Company;
      Ann Yerger, executive director, Council of Institutional Investors; John Thain, CEO, NYSE Group; and
      SEC Chairman Christopher Cox
      participate in a panel discussion, ‘Framing the Issues: Markets Perspectives,’ at Georgetown University March 13, 2007 in Washington, DC.
      Secretary Paulson hosted the ‘Treasury Conference on U.S. Capital Markets Competativeness,’
      a day-long program to focus on capital market issues like regulation, competition and other related topics.

      Nous avons eu plaisir à découvrir le sub-réel de Stephen King, CA

      Résumé en deux pages sur france-jeunes.net
      sur wikipedia, résumé du roman
      Merci Fujisan
      Merci également d’opposer fauxClown et tandem_çà

    3. oups c’est quoi leucocircus ? ….inutile de jeter le bébé, l’eau du bain et la baignoire…depuis que les hommes font du commerce ils ont besoin des banques, c’est aussi simple que çà ! regardez autour de vous, comment les investissements se financent ils ?

  58. @ espagnoux
    « depuis que les hommes font du commerce ils ont besoin des banques »
    Admettons (parce que ce n’est pas si simple que ça).
    Il faut ajouter « depuis que les hommes constituent une communauté politique démocratiques, ils ont, en tant que citoyens, des devoirs mutuels qui excèdent ce que la loi commande ». La déontologie professionnelle n’est pas une question d’éthique mais un devoir politique (faire le lien avec mon post en réponse à Claude Roche sur les implications catastrophique d’une philosophie politique moderne qui pose que la loi s’adresse à la volonté plutôt qu’à l’intelligence. On est en plein dedans!). Un guichetier qui vend un produit financier (un prêt) à un client déjà surendetté qui n’aura pas les moyens de l’assumer trahit l’esprit des institutions, quand bien même la transaction serait parfaitement légale.

    C’est amusant parce-que l’argumentation que vous utilisez est celle défendue par les néo-classiques dans le cadre de théories « contractualistes » de la firme comme « noeud de contrat » ( « intégration hiérarchique minimisant les côuts de transaction »; « théorie des droits de propriété sur les actifs matériels »; « théorie de l’agence »). Une des implications de ces théories est celle-ci: les firmes n’ont pas à être socialement responsables devant qui que ce soit. La seule reponsabilité qui leur incombe est de maximiser le profit des actionnaires dans le cadre des règles imposées par le Législateur.
    En effet, si les actionnaires/dirigeants s’occupent d’autre chose que de faire du profit, on suppose que le marché ne sera pas aussi efficient qu’il devrait-être (Au passage Paul a raison: les stock-options ont été délibérément conçues, sur le plan théorique, au sein de la théorie de l’agence, pour limiter les côuts du contrôle par les actionnaires des dirigeants, le rapprochement de leurs intérêts permettant de « pallier » à l’asymétrie d’information).

    Mais admettons que ceci soit exact. Ceci ne fonctionnerait pas pour les banques.
    – Les banques ne sont pas des « entreprises » comme les autres. La monnaie comme le crédit ont trait à la question de la souverainet, ce qui leur confère ipso facto une responsabilité politique que n’a pas au même degré le vendeur de chaussures.
    – Les « produits financiers » ne sont en rien des « produits » au sens classique du terme (c’est par abus de langage qu’on les qualifie ainsi).
    – Les banques sont « too big too fail ».

    – De même que le rôle des médecins n’est pas de gagner de l’argent mais de fournir un bien particulier à la communauté politique (la santé), de même le rôle des banquiers n’est pas de gagner de l’argent mais d’allouer le capital là où il y en a besoin.
    Un médecin qui déteriorerait volontairement l’état de santé d’un malade serait trainé en justice. La différence avec les banques qui détériorent la santé financière et économique de la communauté politique serait que ceci est « légal ». Imaginons que ce le soit également pour les médecins. Cela justifierait-il le fait de détériorer l’état de santé d’une personne saine? Bien sûr que non! Le médecin ne saurait-il pas qu’il se conduit de manière inappropriée au moment où il le fait? Bien sûr que oui! De même les banquiers savent parfaitement ce qu’ils font, et dans la mesure ou ils ont accepté d’embrasser la profession, ne peuvent se prévaloir d’aucune excuse acceptable (du « tout le monde le fait » au « ce n’était pas interdit »)au moment où leurs pratiques appauvrissent les citoyens (collectivisation des pertes ou spéculation au sens de paul Jorion).
    A ce moment là il y a trahison de la communauté politique. Ce n’est plus seulement de l’incompétence, et ces derniers devraient être déchus de leurs droits civiques.

    Ceci pour la version « soft ». La version hard met en évidence les pratiques de lobbying, d’entente et de mise sur le marché de produits financiers tous plus instables et dangereux les uns que les autres. La version du Clown met en évidence des pratiques quasi mafieuses dans la gestion des flux de capiatux offshore (les banques françaises ont entre 15 et 25 pourcents de leurs filiales installées dans des paradis fiscaux).
    Nous avons besoin de la fonction d’intermédiation, certes, mais nous n’avons jamais demandé tout le reste (ceci inclue le soutien d’une banque française à la junte birmane, entre autres joyeusetés). Je suis sur qu’une fouille rapide sur le net permettra à chacun de trouver le nom de la banque en question.

  59. « depuis que les hommes constituent une communauté politique démocratiques, ils ont, en tant que citoyens, des devoirs mutuels qui excèdent ce que la loi commande ».
    Antoine Y , merci de votre commentaire, intéressant..qui me rend perplexe cependant – nous ne sommes pas vivant dans le monde des idées, si cela était le cas dans le monde démocratique il n’y aurait pas d’usine d’armement, de lobbys politique, de corruption généralisée etc…mais tel n’est pas le cas et le système démocratique est le moins mauvais semble t’il
    alors pour la banque, la réalité est la suivante : un client ne peut pas souscrire un produit financier sans avoir répondu à une questionnaire très impliquant sur son patrimoine, ses compétences et sa stratégie long terme (directive sur les marchés et investissement financier), un client ne peut pas souscrire un contrat d’assurance vie ou de prévoyance sans remplir une déclaration très impliquante sur ses objectifs personnels, les besoins à satisfaire (directive européenne loi de 2007), un client ne peut pas souscrire un financement s’il est surendetté (norme de tx d’endettement et de quotient familial)…la COB, la commission bancaire, la répression des fraudes, l’inspection générale contrôlent en permanence les banques sur chacun de ces domaines !
    encore une fois, le système bancaire avec le système de santé sont en France les plus contrôlés et les plus soumis aux procédures et règlementations
    seulement dans la logique des droits et devoirs de chacun, le souscripteur d’un produit financier (tiens au hasard le directeur financier d’une collectivité locale qui s’est endetté à des tx très faibles sur des pdts sophistiqués et qui fait semblant de découvrir qu’il y avait un risque de contrepartie) n’est pas assimilable à un patient malade qui va voir son médecin !…il a sa propre responsabilité
    j’accepte la version hard, mais il faut la prouver et que l’on coupe les branches pourries

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